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Affichage du contenu ayant eu le plus de réputation le 20/12/2018 dans toutes les sections

  1. 3 points
    Liberty

    Saloon du Network - Red Dead Redemption 2

    Cela me parait être le moment idéal pour poster mon avis sur RDR2. Donc, si par le plus grand des hasards, ça vous intéresse, que vous avez du temps à perdre, dans les transports ou que vous vous faites simplement chier, voici ce que j'en pense, et je serais curieux d'avoir vos avis sur les points évoqués. Evidemment, un jeu qui a nécessité 7 ans de développement et qui a une durée de vie de plus de 80 heures ne pouvait pas avoir un avis qui tiens sur deux lignes. Pardonnez donc ce pavé ! Pour que ça passe mieux, je vous propose une expérience particulière, je vais mettre des musiques que vous devrez lancer afin d'être dans la même "émotion" que moi quand j'ai rédigé ces lignes (j'écoutais ces musiques pendant que j'écrivais, oui).-contient des spoils- Red Dead Redemption 2 est un jeu que je n’attendais pas, et pour être franc, à sa première annonce, j’étais sceptique. Cela s’explique par le fait que Red Dead Redemption est le jeu vidéo qui m’a le plus marqué dans mon histoire de gamer, c’est donc en toute logique qu’il figure en première position de mon top des jeux que je préfère, logique, c’est le seul qui y figure. Certes, j’aime et j’ai aimé d’autres jeux, cependant je n’ai pas « expérimenté » les autres jeux comme je l’ai fait avec RDR. Je joue la plupart des autres jeux comme on consomme un produit culturel basique, comme un film, une série. Dans le cas de RDR, c’était différent, j’ai vraiment vécu une aventure. Ce jeu m’a pris aux tripes. C’est le seul jeu pour lequel j’ai éprouvé tant d’émotions : des rires puis des pleurs. Cela est dû à une histoire prenante, des personnages attachants le tout à une époque et dans un environnement qui m’étaient alors nouveaux à cette époque. Continuez donc de lire après avoir lancé ça: Je pense que la force de ce jeu est son histoire et la manière dont elle est menée. John Marston, héros de cette histoire, est un hors la loi qui souhaite se ranger pour profiter de ce qui est maintenant important pour lui : sa famille. Il essaie alors de racheter sa liberté. Piégé par la Pinkerton, on lui promet en effet de le libérer s’il abat les anciens membres de sa bande. De manière générale, je jouais le jeu d’une manière semblable à un RPG, comme si je vivais ma propre vie, au point que je passais parfois des heures à jouer au poker au même endroit parce j’avais l’habitude de jouer avec les mêmes PNJ, à Armadillo. Je ne pouvais pas jouer ailleurs car je ne me sentais pas chez moi. Pour la petite anecdote, c’est sur RDR que j’ai appris à jouer au poker. J’avais de plus quelques routines, par exemple je me baladais un peu la journée, quand venait le soir j’allais au saloon pour ensuite passer la nuit à jouer au Poker avec mes voisins… Et parfois la journée aussi ! Au bout de 45 heures de jeu, j’arrive à la fin de la quête de John, il retrouve sa famille et peut enfin se reposer et se consacrer entièrement à sa femme et son enfant. On se sent apaisé, sauf que cela ne dure pas. Après avoir tâté du bout des doigts le bonheur, John se retrouve à nouveau confronté à la Pinkerton, et cette fois, c’est pour la dernière fois. Je me souviendrais probablement toujours de cette scène, ce moment où John est seul dans la grange, sachant que son heure est venue (ici, le joueur aussi le sait), il prend alors une dernière inspiration, pousse la double porte battante pour ensuite finir au sol, criblé de balles. Un peu plus tard, son fils se venge et abat Edgar Ross, l’agent responsable de la mort de son père. Enfin, le générique se lance avec la musique « Deadman’s gun » de Ashtar Command. A ce moment-là, je ne vais pas mentir, j’ai pleuré, et ce pour plusieurs raisons : La mort de Marston était pour moi une injustice, on a vécu son histoire et on sait qu’il a tout fait pour se racheter, qu’il s’efforçait à devenir quelqu’un de bien, il ne méritait pas de mourir, surtout qu’il avait rempli sa part du marché. Ensuite, sa mort marquait la fin des routines que j’avais, plus de poker avec les amis d’Armadillo, plus de promenades en cheval que j’avais l’impression de partager avec le héros, et puis je repensais aussi à tous les bons moments que j’ai passé durant cette aventure, qui prenait fin de manière tragique sous mes yeux. Le tout sur une musique magnifique mais triste. Cette fin m’a travaillé pendant bien trois jours. C’est là la force de ce jeu selon moi, il a eu la puissance de me marquer si profondément, que je ressens à nouveau cette tristesse en écrivant ces lignes. Ce jeu est un chef d’œuvre. C’est pourquoi j’étais assez mitigé lors de l’annonce de la suite de ce jeu. En effet, pour moi, faire un RDR 2 revenait à faire un « Titanic 2 », c’est-à-dire que je ne concevais pas qu’on puisse faire une suite à ce chef d’œuvre, d’autant plus que l’histoire était bien ficelée. Par la suite, j’avais peur d’un effet « Le Roi Lion 2 », c’est-à-dire qu’on essaie de faire une suite à un chef d’œuvre mais qui ne sera pas aussi mémorable. Je n’étais donc pas hypé par ce jeu et à vrai dire, « je l’attendais au tournant ». Continuez donc de lire après avoir lancé ça: J’ai donc joué à RDR 2 et l’ai complété en –environ- un peu moins de 100 heures. A vrai dire, ce jeu m’a surpris, dans tous les sens du terme. Commençons par les graphismes : Oui, le jeu est splendide, techniquement comme visuellement, notamment grâce à une diversité d’environnements impressionnante. De la montagne à la plaine en passant par le désert, avec chacun leurs propres spécificités : végétations, animaux, reliefs... De manière générale le monde de RDR2 est vivant et cohérent. Il y a toujours de l’animation et lorsqu’on se ballade, on tombe quasiment systématiquement sur quelqu’un qui a un problème ou nous propose une interaction. J’ai aussi beaucoup apprécié le fait que, juste en croisant des gens, on pouvait avoir des missions récurrentes avec eux, et mieux encore, que lorsqu’on aidait des inconnus, parfois, on était amené à les recroiser par hasard, moment dont ils profitent pour nous remercier. Sans oublier les villes qui sont pleines de vies. Même si j’ai été déçu de Saint Denis, qui n’a rien à envier aux petits villages en termes d’animations et d’activités… Là où c’est moins bon, c’est au niveau du gameplay. Le gameplay est dans l’ensemble moyen. Surtout au niveau des déplacements à cheval. C’est un vrai cauchemar lorsqu’il s’agit de se déplacer avec le cheval lorsqu’il y a des obstacles sur la route. Parfois celui-ci les évites, parfois il saute par-dessus, mais d’autres fois il va simplement buter contre. Mon cheval a trébuché plus d’une fois sur un caillou ne faisant pas un cinquième de sa hauteur. Le pire, c’est quand je m’aventure avec dans la forêt ou que je quitte le chemin de terre. C’est bien simple, je ferme les yeux et je prie. En effet, le cheval n’en fait qu’a sa tête. S’il veut éviter un arbre par la gauche, mais que vous souhaitez aller à droite, deux choses vont potentiellement se produire : La première, la volonté du cheval l’emporte sur la vôtre et vous esquivez l’arbre sur la gauche, sauf que votre joystick est encore orienté vers la droite, ce qui vous envois dans un autre arbre qu’ici le cheval se gardera bien d’éviter. La deuxième éventualité : le cheval va vouloir faire un compromis et va donc vous envoyer dans l’arbre. D’ailleurs, en parlant de cheval, j’aimerais accorder quelques lignes sur ce réalisme à taux variable dont le jeu fait part. Notamment lorsqu’il est question de la mort de votre cheval. Alors je comprends qu’on veuille faire réaliste en rendant toute mort définitive. Mais pourquoi, quand je meurs en même temps que mon cheval, un autre cheval apparaît, que je ne connais ni d’Adam ni d’Eve et qui porte, en plus de ça, la selle de mon cheval mort. Serait-ce un cadeau des Dieux ? Autant qu’ils me rendent mon cheval mort…. Mais vivant. Autre soucis, mais manette oblige, la visée automatique est très aléatoire. D’abord dans la sélection des ennemis, parfois la visée se lock sur un ennemi à plus longue portée que celui qu’on souhaitait initialement viser, qui lui était plus près. Alors oui, je pouvais la désactiver, mais en visée libre au joystick, c’est beaucoup moins agréable qu’avec une souris. Ce que je faisais la plupart du temps, c’est que j’activais le sang-froid juste le temps de positionner manuellement le viseur sur la tête de l’ennemi et tirer. D’ailleurs, en parlant de tirs, j’ai trouvé très gênant le système de tir avec certains fusils (fusils à verrou par exemple), en effet, il faut appuyer sur la gâchette une fois pour tirer avec l’arme, mais encore une fois pour armer l’arme à nouveau. Si on oublie, on tirer dans le vent puisque aucune balle ne sort, et si on se précipite en appuyant plusieurs fois pour que le personnage se dépêche, le coup part « tout seul », et on se retrouve dans la situation initiale, à savoir, réarmer l’arme. Certes, ça ne m’arrivait pas systématiquement, mais au moins une fois par gunfight, puisque je jouais 80% du temps avec le fusil à verrou. Sinon, pour les fights au corps à corps, je dois admettre que le système de combat est assez prenant, il est vif et on sent que les coups sont donnés avec force. Je déplore cependant l’absence des coups de pieds. S’il y a bien quelque chose que j’ai apprécié dans le déroulement de l’histoire, c’est que celle-ci se passe essentiellement dans la partie des plaines et de la montagne, ce qui fait qu’à mesure que j’avançais dans le jeu, j’étais hypé par la zone désertique. Quelle déception arrivé à l’Epilogue, en me rendant compte qu’au final l’histoire a laissé une partie de la map complétement inutilisée. C’est bien simple, j’ai fini le jeu et éteint la console –pour une durée indéterminée- sans avoir exploré toute la partie sud-ouest. Un autre problème que cela a causé, c’est qu’au bout d’un peu plus de 60 heures de jeu, j’ai fini les quêtes « inconnus », « rencontres fortuites » et exploré tout ce que j’avais à explorer avant même d’avoir fini le jeu, j’ai donc été poussé à rusher les missions à partir de là. Détail que j’ai moyennement apprécié : la sensation qu’on est un enfant pour qu’à chaque mission les PNJ nous disent quoi faire. Je pense que cet effet aurait pu être évité de la manière suivante : Au lieu que ce soit le PNJ qui dise « va à l’échelle et attends mon signal », ce serait bien mieux que ce soit Arthur qui dise « J’vais monter à l’échelle et tu me dis quand t’es prêt ». Continuez donc de lire après avoir lancé ça: Enfin, je me dois d’aborder le système d’honneur. Dans RDR, le système était simple : tu fais du mal masqué, ton honneur ne bouge pas. Ici, quand bien même tu mets une cagoule, si tu commets une mauvaise action, ton honneur descend. On comprend au fil de l’histoire que cet honneur concerne et impact essentiellement Arthur et l’estime qu’il a de lui-même, ça va influer sur son comportement et la manière dont il appréhende les événements, et non sur la vision qu’ont les gens de lui. Mais alors, pourquoi ces répercutions sur les prix et les actions des PNJ vis-à-vis de lui en fonction de son honneur ? Comment les PNJ sont-ils censés savoir que c’est lui qui a tué un innocent, alors qu’il était masqué ? Surtout que certaines actions effectuées durant les missions n’ont pas d’impact sur l’honneur alors qu’effectuées en dehors des missions elles font baisser l’honneur. En parlant d’honneur, il me faut évoquer le système de prime que je ne comprends pas. L’histoire veut que nous soyons des hors-la-loi, alors pourquoi ai-je une prime EN PLUS que celle que je suis censé avoir ? Pourquoi puis-je payer ma prime ? Je paye la prime et c’est fini j’ai plus à fuir ? Sans parler des chasseurs de primes qui vous trouvent systématiquement lorsque vous faites un campement, même si vous êtes dans les montagnes. C’est d’ailleurs à cause de ce dernier point que j’ai arrêté de faire des campements (que j’appréciais particulièrement tant ils renforçaient l’immersion). Parlons maintenant du plus important, l’histoire. Le jeu nous fait vivre le déclin de la bande de Dutch, du point de vue d’Arthur. L’histoire prend donc place avant celle que l’on vit avec John. J’ai beaucoup aimé l’aspect de bande qui était bien mis en valeur. J’ai adoré les interactions qu’on pouvait avoir avec les différents membres, avec des dialogues qui évoluent en fonction de l’histoire ou bien des activités qu’on a faites avec eux. Je me souviens avoir fait une partie de dominos avec Mary-Beth et le lendemain (in-game), en la saluant elle a fait référence à la partie qu’on avait faite, en me charriant parce qu’elle avait gagné. D’ailleurs, à propos de Mary-Beth, j’ai vraiment pensé qu’il pourrait se passer quelque chose entre elle et Arthur, et bien pas du tout. J’étais même plutôt déçu de ne pas avoir plus d’interaction avec elle, et certaines autres filles du camp, qui sont souvent délaissées. Par contre, voir que systématiquement, lorsque je propose une partie de poker, Marston est toujours présent, ça m’a fait sourire parce que ça me rappelais les nombreuses heures que j’ai passé à jouer au poker dans le premier RDR, ça coïncidait donc bien avec l’image de passionné de poker que je lui avais donné. Dans cette aventure, Arthur décide de se ranger, tout en reconsidérant les décisions qu’il a prises par le passé. Cette remise en question est précipitée par le fait qu’il est atteint de la tuberculose, qu’il a contractée en frappant un homme. Personnellement, dès que je l’ai entendu tousser pour la seconde fois, j’ai su qu’il allait tomber malade. Parce qu’à la première toux, je me souviens avoir apprécié ce que je pensais être « un détail », mais quand c’est apparu une seconde fois, j’en ai déduit qu’il ne s’agissait plus d’un simple détail… Quelque chose d’important à souligner, c’est qu’au début de l’histoire, le jeu a réussi à faire baisser l’estime que j’avais pour John. On apprend qu’il a abandonné la bande une première fois, qu’il ne considérait pas Jack comme étant son fils et surtout, on sait que par la suite il va trahir une deuxième fois sa bande en exécutant tous ceux qui auront survécu jusque-là pour racheter sa liberté. Je trouve ça assez bien joué de la part de Rockstar de démystifier le héros du précédent opus, fallait le faire ! Au final, à mesure qu’on avance dans l’histoire, qu’Arthur développe de la sympathie pour John, mais aussi que John gagne en maturité, l’estime pour celui-ci revient au plus haut. Pour ce qui est du déroulement de l’histoire, je trouve ça un peu bancal que Dutch veuille systématiquement avoir plus d’argent, alors que rien qu’avec ce qui nous revient en part de chaque mission, on a largement de quoi vivre tranquillement pendant un moment. Surtout que je trouve qu’on n’a pas vraiment de quoi dépenser notre argent. Peut-être même qu’on a trop d’argent du coup ? Par ailleurs, j’avais lu dans certaines critiques que l’épilogue était jugé trop long. Personnellement, je trouve qu’il prend simplement trop de temps dans le récit général, presque 1/3. Mais en réalité, avec cet épilogue, consacré à la construction de l’intrigue de l’opus suivant, on se rend compte que la série Red Dead Redemption, c’est avant tout l’histoire de John Marston. Je regrette d’ailleurs qu’au final, avec cet épilogue, Arthur passe pour quelqu’un de secondaire. Et c’est d’ailleurs ce que j’avais remarqué dès le début du jeu. J’avais du mal à cerner le personnage, connaitre ses enjeux, ses motivations, afin de le jouer au mieux (Dans RDR1, on sait que Marston a une famille, qu’il essaie de retrouver en aidant la Pinkerton, c’est un gars qui souhaite se ranger). En fin de compte on en apprend que trop peu sur lui, au point qu’à la fin du jeu, on en sait plus sur John que sur Arthur. D’Arthur, on sait simplement au détour de deux conversations qu’il a eu une femme et un enfant qu’il a perdu. On sait aussi de par quelques missions qu’il a eu un amour de jeunesse. Il n’a pas d’ambition, si ce n’est d’être loyal à Dutch (on va en reparler plus tard). Dans le dernier chapitre cependant, on a tout de même une forme d’ambition, celle de la rédemption, comme pour John, une remise en question, une envie de faire ce qui est juste. Il consacre d’ailleurs ses derniers instants à protéger et sauver John. En revanche, j’ai adoré lire le journal d’Arthur, puisque celui-ci nous permets de comprendre comment les événements l’ont affectés, ses doutes, ses peines et ses joies. Mais alors, ce jeu m’a-t-il marqué ? Est-il à la hauteur du premier RDR ? Continuez donc de lire après avoir lancé ça: Et bien… C’est compliqué. Comme je l’ai dit plus haut, ce qui avait fait de RDR un chef d’œuvre selon moi, c’est la capacité du jeu à m’impacter émotionnellement, notamment par la mort tragique et injuste de John. Ici, la mort d’Arthur est prévisible, je regrette d’ailleurs qu’on n’accorde pas au joueur le temps de faire le deuil du personnage. Il meurt, cinématique de dix secondes, et on passe à la suite. Pas le temps d’être triste. De plus, la soundtrack de ce jeu est géniale, il y a de très bonnes musiques qui auraient pu être mises au moment de sa mort, mais en fin de compte on a juste droit à une version « High » de « May i stand unshaken », j’ai trouvé ça moyen. Pourtant, la musique a été particulièrement bien choisis à d’autres moments que j’ai adoré : quand Arthur revient au repaire de la bande sur l’air de « May i stand Unshaken », au retour de Guarma, mais aussi lorsqu’il revient au camp sur la musique « That’s the way it is », avant la mission « finale », c’était très beau. Si la mort d’Arthur ne m’a pas choquée, une des dernières phrases qu’il a prononcées m’a pourtant profondément marquée. Il s’agit du « I gave you all i had… I did. », adressé à Dutch (qui lui-même n’a pas su quoi répondre), alors qu’il s’apprête à trépasser. Cette phrase m’a marquée profondément, et j’y ai repensé pendant bien deux jours. Je n’étais pas triste, mais j’avais de la peine. Je disais plus haut que je reprochais à Arthur de ne pas avoir de réels buts et ambitions. C’est simplement parce qu’il a consacré sa vie à Dutch. Il a par exemple fait passer la bande avant sa vie de famille, ce qui a probablement causé la perte de sa femme et de son fils. Malheureusement, il se rend compte de ce à coté de quoi il est passé beaucoup trop tard, à l’aube de sa mort, ce qui explique pourquoi il aide John et place beaucoup d’espoirs en lui, afin qu’il ne reproduise pas les mêmes erreurs. J’ai aussi été marqué quand Micah et Dutch ont commencés à faire des plans et cacher des choses à Arthur, j’ai vraiment ressentis cette sensation de rejet. J’avais donc de la peine pour Arthur qui a basé toute sa vie sur la loyauté pour au final se faire abandonner. Ainsi, en se consacrant entièrement à Dutch, il est passé à côté de sa vie… Donc oui, ce jeu m’a marqué, peut-être pas autant que le premier RDR, mais bien plus que tous les autres jeux auxquels j’ai pu jouer. C’est pourquoi je le place en deuxième position de mon top de mes jeux préférés, ne comportant que deux jeux. J’ai appris il y a quelques jours que, selon des rumeurs, Rockstar prévoirait d’incorporer l’histoire de RDR1 à RDR2. Cela expliquerait d’une part la présence de la partie de la carte de RDR1 (et de sa non-exploitation), mais cela expliquerait aussi pourquoi l’épilogue prend autant de place dans l’histoire de RDR2. En plus, ça expliquerait pourquoi on n’a pas eu de remaster plus tôt et ça légitimerait le portage vers une version PC. Enfin, Rockstar donnerait une sacrée leçon à l’industrie du jeu vidéo en mettant en DLC un jeu complet remasterisé. Honnêtement, je pense qu’ils en sont capables, à voir s’ils le font payer (probablement), et si oui, à quel prix.
  2. 2 points
    Denloster

    Guide : Mise à jour « Guerre d'arène »

    Tiens d'ailleurs @Dark passenger ça te dirais un ptit braquage?
  3. 1 point
    Soraya

    Guide : Mise à jour « Guerre d'arène »

    Aaaah d'accord. Merci. J'avais compris que notre ratio total devait avoir en plus un écart positif... eg 1000 victoires / 791 défaites pour atteindre le niveau 20... Donc, à n'importe quel moment, on peut décider de se lancer sérieusement à la conquête de ces médailles, même si on a 36 milliards de défaites contre 0 victoire... Ce qui explique le nombre élevé de joueurs indécis qui quittent la session avant le lancement de l'activité...
  4. 1 point
    Isyanho

    Saloon du Network - Red Dead Redemption 2

    Super compte rendu ! Très agréable à lire J'essayerai de faire de même quand j'aurais le temps et le motivation ^^ Mais en tout cas tu gère ! Pour la version PC, il y a une vidéo qui tourne en ce moment et qui pour le coup est crédible : https://www.jeuxactu.com/red-dead-redemption-2-une-video-montre-le-jeu-tourner-sur-pc-116540.htm Et une toute petite information à vérifier, apparemment Rockstar a ajouté une petite référence en ses périodes de fêtes : les PNJ pianistes dans les saloons joueraient des chants de Noël (une vingtaine de chants)
  5. 1 point
    ramsesozore

    Guide : Mise à jour « Guerre d'arène »

    Pas cool Pas cool Arf
  6. 0 points
    Dark passenger

    Guide : Mise à jour « Guerre d'arène »

    Ah oui c'est vrai que l'histoire des rangs c'est complétement délirant, j'ai laissé tombé, ils ont fumé pour faire un truc ou on retourne en arrière à cause d'une défaite donc on n'est des fois pas responsable, après oui je pense qu'ils vont peut-être rajouté des activités toutes les semaines, en tout cas chronophage je n'aime pas, je déteste tout ce qui est contre la montre, ben moi je suis sur PS4, des joueurs qui ne m'avaient plus parler depuis des mois se souviennent de mon existence pour faire Bogdan en boucle, c'est beau l'amitié dans ce jeu
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