fande2cv

Oui mais le chef m'a demandé cette couleur quand j'avais présenté ma Massacro.   Effectivement ce n'est pas ma création pour la couleur, je suis obligé de payer des droits d'auteur à Dharma

Superbe modifications, les schémas sont compréhensibles, beau travail

Bonne lecture, n'oublie pas de nous donner ton avis   Mercredi nouvel essai, mais j'en dis pas plus

    Pourquoi ces jantes tu les mets en marrons ? Sinon moi jai mis les Dukes Genre comme sa Sinon quelles photos           Pour répondre à ta question je voulais m'inspirer de ces jantes   Voici donc la version final de ma Ruiner Trans Am      

Merci à tous ceux qui ont voté pour moi Mais je dédie cette victoire à Dharma qui avait fait la même voiture donc on a gagné tout les deux

Nouvel essai, je pense prendre les flancs blancs    

  Jai les meme couleurs pour ma Ruiner et perso je trouve pas sa tres beau avec les flancs blancs. Et pour la premiere jaurais enlever les pneu custom D'accord merci pour ton avis, j'ai mis les flancs blancs car je trouvais trop sombre avec les jantes noirs et au passage jolie Monroe Tu as mis quoi comme jante pour ta Ruiner ?

Bonsoir, j'aimerai avoir votre avis pour choisir les jantes de ma Ruiner, lesquelles préférez-vous ? Ou dites moi si d'autres jantes pourraient lui aller  

Tu as gardé la configuration que je t'ai donné ?

Modifié !

Voici le dernier test de Kalys   ESSAI DEWBAUCHEE MASSACRO S par Kalys Ça y est aujourd'hui c'est le jour J. Après plusieurs années mitigées avec une Rapid Gt en demi teinte, Dewbauchee réaffirme enfin sa volonté de compter parmi les plus grands avec la nouvelle Massacro , présentée à la presse aujourd'hui. Le V12 Dewbauchee a été gonflé jusqu'à 528 chevaux dans la version Massacro S. Je me dirige donc avec une impatience et une hâte démesuré en direction de l'aéroport de LS, lieu de la présentation. Essai : Visiblement Dewbauchee ont sorti les grands moyens pour présenter leur nouveaux modèles. La totalité de la gamme est présente sur le stand. En arrivant "réclamer" ma Dewbauchee, j'apprends que les essais ne consiste qu'en quelques tours de piste. Après plusieurs minutes à insister, le désarroi m'emparant j’appelle le chef de la rédaction pour qu'il m'arrange quelque chose, car impossible de juger une voiture en tournant en rond pendant 5 minutes !! Pendant les négociations, je me dirige donc vers la Massacro S que je devais essayer. On comprends de suite que le design se veut discret. Pas de choses ostentatoires, de bling bling , ce n'est vraiment pas le style de la maison. Luxe et sportivité mais dans la discrétion. Tout d'abord le pare choc en deux partie avec diffuseur en bas et incluant la calandre dans sa partie supérieure est sublime. Les grilles noirs apportent une touche de sportivité tout en restant sobre. Les phares effilés à LED sont d'un plus bel effet. Le capot simple, possède juste deux nervures central. Sur les côtés, discrétion aussi, à part les aérations moteur et les immenses jantes noir mat, rien nous fera présager de ce qui sommeille sous le capot. Mais au final le profil étiré et la nervure s'étendant jusqu'à la portière donne un design élancé et sportif sans avoir besoin de fioritures. A l'arrière, on commence par une déception. Encore et toujours les mêmes phares, moche, montés sur tous les modèles de la marque. Il y a quand même un sacré air de Rapid Gt! Heureusement le pare choc arrière apporte la touche qui manquait à cette arrière vu et revu... De chaque côté d'un superbe diffuseur en deux parties qu'on croirait issu du DTM, le pare choc accueille deux doubles sorties. D'un coup , un membre du staff, s'amène, me tendant les clefs de la Massacro S d'un air dépité... L'intérieur est à l'image de la marque. Sobre mais bien fini, on notera quand même quelques lacunes d'équipement par rapport à la concurrence Par contre les magnifiques sièges baquet, très enveloppants sont un gage de confort. En sortant de l'aéroport, à allure modéré , pour ne pas inquiéter un peu plus le staff déjà terrorisé, la Massacro se veut très docile. A des années lumières d'une Comet et sa brutalité. Le V12 de 6,0L est très agréable même à basse vitesse. Aucun accoups, repartant en douceur des les plus bas régime, et le son se veut très feutré. En ville le bilan aurait pu être parfait si la direction étais un peu moins lourdes. Le rayon de braquage est malgré tout excellent. En arrivant derrière Palomino Highland, j’écrase enfin le pied sur l'accélérateur, et là , la Massacro s'est littéralement transformée. La motricité étant excellente, sans une once de patinage, la voiture arrache du bitume sans la moindre peine. On se retrouve la nuque incrustée dans les appuies têtes dans une sonorité d'un V12 grondant, rauque et rageur. Chaque ligne droite disparaît et on se retrouve catapulté de virage en virage. Bardé d'aide à la conduite dans les virages, la Dewbauchee semble sur des rails. Une fois en appuie, elle repousse dans des proportions étonnantes les lois de la physique. Jamais piégeuse, avec un freinage d'une force démesuré, on attaque toujours plus fort pour essayer de la prendre à défaut. Malgré toutes ces qualités la Massacro est une Dewbauchee. Et une Debawchee c'est lourd, très lourd même ici. Avec quasiment deux tonnes sur la balance, la Massacro manque un peu d'agilité et on l'aurait aimé un peu plus joueuse. Mais pas d'inquiétude malgré ça, avec l'énergie du V12, et l'excellence du châssis, c'est l'efficacité qui prime ici. En se lançant sur la Freeway, la poussé semble sans faille. La boites 6 au changement de rapport très rapide, allié au moteur effacerons tout dépassement en un clin d’œil avec ou sans rétrogradages. La vitesse max est atteinte grâce à ce fabuleux 6,0L et un aérodynamisme très travaillé est très élevé. Petit arrêt à Grapespeed avant de longer l'Alamo Sea. Tout le long du trajet, le confort aura été admirable ! Dans la rue principale, tout le monde se retourne sur son passage. Malgré sa sobriété, elle attire l’œil. Le long de l'Alamo Sea , la Massacro se montra de nettement moins bonne compagnie. Le poids reprend le dessus sur la terre. La suspension se désaccorde complètement, la voiture tangue et rebondis au moindre défaut. La motricité est plus difficile sa patine, sa glisse et le freinage empire. Bon n'étant pas sa vocation on le comprend, mais à éviter sur la terre quand même ! Pour me remonter le moral, le tunnel passant sous le mont Chiliad ma offert un sublime cadeaux. La réverbération ! Troisième poussée jusqu'à 8500 tours, les hurlements du 12 cylindres déchirent le silence de la montagne. Tous les poils s'hérissent , quatrième ! Et là, il fallut freiner fort car le compteur affichait déjà plus de 220 kilomètres heures. Le retour par Tongva hills se fit à un rythme élevé. Imperturbable, chirurgicale, la Massacro se joue de chaque virage avec une facilité déconcertante. Dans un confort de limousine, on se fait catapulté à chaque sortie. Arrivé à Banham Canyon, la pluie fît son apparition. Et la c'est le drame. Les deux tonnes font souffrir le châssis sous la pluie. Il faudra sérieusement éviter d'accélérer roues braquées, ralentir dans les virages et composer avec un freinage altéré et bien plus long ainsi que quelques glissades. Sous la pluie pas de miracle donc pour notre Dewbauchee. La journée se termine, un dernier petit tour par les plages de Del Perro avant de la ramener. Je contemplais une dernière fois l'intérieur quand d'un coup un importun, en Comet Turbo, à l'arrêt et à côté de moi au feu se mit à faire rugir son moteur. J'ai beau me persuadé que mon V12 atmosphérique ne manque pas de ressources, mais face à une Comet Turbo bien plus légère, au flat 6 taillé pour la piste, le doute me gagne. Feu vert, Le V12 hurle, la Massacro s' arrache du sol et part en tête tel un missiles! Cette voiture n'auras pas fini de m'étonner! Il faudra attendre la 4e et les 200 kilomètres heures, pour que la Comet commence à remonter, bon une petite cure de poids ne ferait quand même pas de mal à notre Dewbauchee, mais la puissance n'est pas moins impressionnante. C'est donc la larme à l’œil que je ramène la Massacro. Une dernière photo pour la route. Conclusion :   La Massacro est une voiture d'exception. Surpuissante, défiant la physique, son efficacité et sa facilité de conduite , en font un choix très judicieux. De plus elle est doté d'une polyvalence hors du commun. Côté pile on a un coupé de grand standing luxueux, confortable tel une Cognoscenti, capable de rouler en ville , ou "cruiser" tranquillement le long des plages. Côté face c'est une diabolique machine, qui à la moindre pression sur l'accélérateur, filera droit en zone rouge, en vous broyant les cervicales accompagné de hurlements jouissifs. Et une tel polyvalence, peu de sportive l'offre. Seul le poids, et le prix feront ombre au tableau, mais à se niveau d'excellence... A acheter de toutes urgences !   + - Look Poids Luxe Chassis Confort Suspension V12 Prix Rayon de braquage Utilisation off-road Utilisation urbaine Utilisation sous la pluie Vitesse de pointe Freinage Accélération Motricité Esthétique : 4,5/5 Vivement le changement des feux arrière !! Maniabilité : 4,5/5 Comportement route sèche : 4,5/5 Comportement route mouillé : 3.5/5 Note : 17/20 : Une sportive au look ravageur et à la mécanique impressionnante ! Données constructeur : (Merci à Donki le gris pour m'avoir autoriser à utiliser les données de ses tableaux dont voici le lien https://www.gtanf.com...showtopic=19302 ) Fabricant : Dewbauchee Modèle : Massacro Mécanique : V12 6.0L de 528ch Catégorie : Sportive Transmission : Propulsion Nbr de places : 2 Prix d'achat : 275 000$ Stats de base / Stats modifiées Bleu => Stats utilisées pour l'essai Vitesse max : 82,09 / 82,09 Accélération : 90,25 / 135,25 Freinage : 30,0 / 35,0 Maniabilité : 69,15 / 81,65 Crash test : Très bon Données Social Club : Temps sur circuit réalisé par le Stig : 0 ' 48 , 117 Temps 1000m d/a réalisé par le Stig : 0 ' 24 , 785 Véhicule réel inspiré pour le modèle : Aston Martin Vanquish 2012 FIN

Jolie !   Mais qui se cache derrière ces feux ? Des indices...   La voici !!    

Ok

Merci La tienne est aussi très belle ainsi que les photos

Même pas la Coquette, la Carbonizzare ? Au pire il y a aussi la Bufalo V2

Merci et c'est corrigé

Merci pour la Sabre c'est celle d'un ami

Bonsoir,   Pour les sportives c'est très compliqué d'avoir un modèle presque sans défauts, pour la polyvalence je te conseille la Invetero Coquette. Après il y a aussi la Grotti Carbonizzare qui est pas mal, l'Anis Elegy RH8 qui a un gros atout qui est sa transmission intégrale mais un très grand rayon de braquage et un freinage faible !   Tu peux t'aider de mes essais sur quelques sportives pour avoir un avis global de la voiture   -Invetero Coquette https://www.gtanf.com/forums/index.php?showtopic=21676&p=614477 -Anis Elegy RH8 https://www.gtanf.com/forums/index.php?showtopic=21676&p=695542 Edit : Mise à jour Crash test Surano.

J'aimerai trop que la Dukes revienne   Sinon essai sur une Ruiner, vous en pensez quoi ?    

Très jolie !

Merci ! C'est sur mais une classe S est tout aussi confortable   Merci !   Merci   Merci c'est vrai qu'ils auraient pu faire une version coupé avec portes papillons, ça aurait été magique

Très bonne idée

  Oui   ESSAI BENEFACTOR SURANO par fande2cv   En 2009, Benefactor revient dans la catégorie sportive en nous présentant la nouvelle Surano. Cette voiture qui introduit le nouveau style intérieur et extérieur des Benefactor, devait chasser sur les terres des Comet et autres Dewbauchee. Par ailleurs cette sportive possède un avantage par rapport à ses concurrentes qui est le design extérieur néo-rétro s'inspirant d'une célèbre Benefactor des années 1950 mais elle n'existe quand cabriolet, ce qui peut-être une faiblesse. Quand est-il aujourd'hui ? Fait-elle aussi bien que la concurrence ? Pour répondre aux questions je me suis rendu dans la concession Benefactor de Los Santos.   Essai :   A force de me rendre à la concession Benefactor / Galiventer sur Spanish Ave, je commence à me faire connaître. C'est donc avec un très bon accueil qu'on me donnait les clef de la Surano. Comme d'habitude, la voiture se trouve derrière la concession et les conditions sont toujours difficiles pour faire un point design. Il est 6h20 à ma montre, je décidais donc de partir à la conquête de la ville sous un soleil radieux réveillant Los Santos. Ce centre ville m'exposa une voiture plutôt agile et agréable à utiliser en ville. En effet, la Surano dispose d'un bon rayon de braquage pour de bonnes manœuvres et les accélérations sont très agressives et permettent de bien s'amuser quand le feu tricolore passe au vert. Pour ce qui est des points plus négatifs, il y a au rendez-vous des suspensions un peu trop fermes avec lesquelles on sent les aspérités des routes du centre ville (plaques d’égout, routes cabossées...) et un freinage pas assez rigoureux à mon goût. En arrivant à proximité de Del Perro je trouvais un parking à l’emplacement idéal pour décrire le design. Commençons par l'avant. Cette face était à la fois sportive et expressive. En effet, la sportivité est présente grâce aux quatre sublimes entrées d'air en forme d’ouïs de requin placées aux extrémités du pare choc et grâce au capot faiblement nervuré et enclavé entre les ailes qui comportent quatre sorties d'air. Le coté expressif est mis en avant avec les feux effilés possédant une signature LED en forme de L ainsi que la calandre béante sectionnée en deux par une grosse bar de chrome. Je trouve que le mariage de ces deux modes est très bien réalisé et donne un avant agressif et élégant. Pour l'arrière, c'est un caractère plus doux qui se dégage. On peut voir que les lignes sont toutes en arrondies et que les différentes nervures sont très peu marquées. Les feux arrières qui épousent la forme des ailes arrières sont, je trouve, une réussite au niveau stylistique. Par contre on sait que la voiture que je possède ne rigole pas quand on voit ce très beau diffuseur en carbone parfaitement intégré dans le pare choc et englobant les quatre sorties d'échappements. Passons maintenant au profil. Ce profil fait un mélange des philosophies avant et arrière qui donne une face comprenant sportivité et douceur. La douceur est là avec les différents arrondies présents sur les ailes avant et arrière, le capot et les rétroviseurs. Pour montrer la sportivité on peut compter sur les jantes carbones, vitres fumées, et capote noire de série qui ressortent agréablement avec la couleur argent de la carrosserie. On peut aussi compter sur la grande nervure aboutissant sur les bas de caisse sculpté et les trois sorties d'air surmontées d'une petite barrette chromée qui est du plus bel effet. Il est 10h, j'ai fini le point design et la brise fraîche du matin était enfin levée, je pouvais actionner le bouton pour replier en un rien de temps la capote en toile et profiter de l'air marin et des températures atteignant déjà 20°C. Progressivement je me rendais vers l'autoroute pour rejoindre la fameuse route 68. Mon trajet sur la Great Ocean Highway s'est passé sans encombre et paisiblement. En effet, la Surano doter d'un V8 vous fera parcourir la highway, cheveux aux vent, à une vitesse de pointe très satisfaisante qui pourra à tout moment être reconquit par les très bonnes accélérations. Outre, ces points plutôt bons la Benefactor avait quelques points faibles sur autoroute comme le freinage qui vous oblige à prendre de grande distance pour arrêter l'engin et une direction qui est pour moi trop sensible et pas assez précise pour pouvoir slalomer entre les voitures sans avoir peur d’abîmer la carrosserie. Sur la route 68, j'ai eu l'opportunité de prendre un chemin en terre afin de rejoindre les collines et leurs routes sinueuses. La terre n'a pas causé de problème sur le comportement de la voiture. Je n'ai pas eu de souci de motricité malgré le fait que la Surano soit une propulsion et le comportement général était très convaincant pour une sportive. Il faut peut-être éviter les chemins trop escarpés car même si la garde au sol est plus haute qu'une supersportive ce n'est quand même pas un 4x4, donc à éviter si vous ne voulez pas avoir de gros frais de réparation. Ça y est, je suis sur les routes sinueuses en direction de Vinewood Hills. Et là je peux vous dire que j'ai vidé des boîtes de Kleenex tellement j'ai été triste de voir le comportement déplorable de la Surano sur ces routes. Ce n'est pas les séries de virages à faible courbures sur des versants plats des collines qui me désole car elle se débrouille bien et enchaîne avec rapidité et agilité ces virages mais ce sont les séries de virages en monté / descente avec souvent une forte courbure qui me chagrine. Et bien oui ! La voiture survire énormément et est très difficile de redresser. Cela est dû à plusieurs facteurs comme la répartition des masses qui est très mal faite car le moteur étant placé à l'avant le poids est concentré sur l'essieu avant, on se demande ce que faisait les ingénieurs allemands quand ils ont conçu l'auto ! C'est vraiment dommage venant d'une marque aussi prestigieuse que Benefactor. On peut aussi noter comme facteur l'amortissement qui est trop ferme. Alors comment se passe un virage dans ses conditions ? Et bien c'est tout simple, en arrivant dans la courbe la direction, qui est très bonne en soit puisque c'est une direction paramétrique sport, n'arrive pas à encaisser le surplus de poids et la voiture va commencer à sous -virer, au même moment le revêtement étant incliner les suspensions vont sautiller ce qui va déstabiliser la voiture et donc la partie la plus légère va vouloir passer devant vous et ainsi l'essieu avant part en glisse et la voiture sous-vire. Et ça se répète à chaque virage où le revêtement n'est pas lisse et il suffit que vous rouliez à une vitesse élevée pour que la voiture parte dans le décor. Je peux vous dire qu'on devient expert en drift en redressant constamment la voiture. Bon passons cet épisode tumultueux. Le ciel se couvrait de plus en plus et laissa très vite place à un violent orage déferlant sur Los Santos. Durant cet événement j'étais en direction de la concession pour rendre la Surano. Malheureusement, la pluie aggrava le cas de la Benefactor et les phénomènes de survirage / sous-virage sont amplifiés et la voiture devient presque incontrôlable et très dangereuse, on peut dire adieu à la précision de conduite. Outre ses désagréments, les distances de freinage sont aussi lourdement rallongées. C'était donc l'heure de rendre la Surano et je sortis de la concession avec un bilan mitigé.   Conclusion :   Avec la Surano, Benefactor a voulu reconquérir le marché des sportives après l'échec commercial de la Feltzer (trop bodybuildée). Leur pari de concurrencer les ténors de la catégorie est réussi mais pas totalement. En effet, le style la finition et la mécanique sont de très hauts niveaux mais les différents réglages ont été fait à la va vite et on se retrouve avec une belle voiture mais mal optimisée. Mais d'un autre côté très peu de voiture dans cette catégorie arrive à allier les deux. Pour moi les bonnes alternatives restent la Coquette et la Jester car elles ont un comportement routier sain et un design réussi surtout pour l'Invetero. C'est pour ça que la Benefactor Surano n'est pas une mauvaise voiture mais une voiture pas faite pour un conducteur lambda. En revanche si vous faites principalement de l'autoroute / urbain cette voiture est excellente et sa note serait pour ces conditions de 19/20.   + - Look Réglages Moteur Répartition des masses Accélération Comportement sous la pluie Rayon de braquage Comportement virage ascendant / descendant Comportement route en terre Freinage Direction Rapport qualités / prix Esthétique : 5/5 Maniabilité : 4/5 Comportement route sèche : 3.5/5 Comportement route mouillé : 2.5/5 Note : 15/20 : Une sportive très belle mais qui possède des défauts non négligeables, d'où sa note ! Données constructeur : (Merci à Donki le gris pour m'avoir autoriser à utiliser les données de ses tableaux dont voici le lien https://www.gtanf.com...showtopic=19302 ) Fabricant : Benefactor Modèle : Surano Mécanique : V8 6.2L de 571ch Catégorie : Sportive Transmission : Propulsion Nbr de places : 2 Prix d'achat : 110 000$ Stats de base / Stats modifiées Bleu => Stats utilisées pour l'essai Vitesse max : 83,17 / 83,17 Accélération : 85,0 / 130,0 Freinage : 33,33 / 38,33 Maniabilité : 69,69 / 82,19 Crash test : Bon Données Social Club : Temps sur circuit réalisé par le Stig : 0 ' 48 , 407 Temps sur 1000m d/a réalisé par le Stig : 0 ' 25 , 458 Véhicule réel inspiré pour le modèle : Mercedes SLS cabriolet (corps) / Jaguar F-type pour les détails (feux, pare choc...) FIN Voilà j'espère qu'il vous a plu même si j'ai été, je l'avoue, un peu dur Mais j'adore cette voiture quand même, elle est dans mon garage Anecdote : Les dev se sont inspirés de deux modèles au style néo-rétro pour cette Surano.

Excellent la 2cv Sinon voici la version que j'avais en tête quand Valou m'a dit qu'on avait les mêmes voitures

On l'a pas fait exprés, il répondait "Oui" à "Ces vos deux voitures", d'ailleurs je l'ai posté il y a une semaine sur le topic des voitures Peut ètre que le cerveau de dharma à retenu la couleur inconsciemment ? Même pas, je m'en souviens plus lol J'ai cherché des photos du modèle réel mais la couleur que je voulais se rapprocher trop du bleu ultra donc j'suis allé dans les teintes vertes et j'ai mis celle là. Ok J'ai proposé à Valou de refaire la mienne mais il a préféré poster avant