fande2cv

Bah c'est la couleur que j'ai sur ma peyote depuis 2 semaines mais je trouve que beaucoup de couleurs lui vont très bien et j'ai voulu mettre le vert pétrole car je n'ai pas de voiture verte donc c'est une première ! On l'a pas fait exprés, il répondait "Oui" à "Ces vos deux voitures", d'ailleurs je l'ai posté il y a une semaine sur le topic des voitures Peut ètre que le cerveau de dharma à retenu la couleur inconsciemment ?

Je veux bien aussi

Euh peut être pas mais un essai normal oui   Effectivement, ce week-end c'était le pont donc j'étais pas chez moi et je pouvais accéder à internet que depuis mon téléphone et ainsi l'essai de ce samedi est passé à la trappe. Je reprend alors du service cette semaine avec des essais (demain et samedi) sous le signe de la sportivité.

Merci à tous pour vos retours !   @Dharma Moi c'est l'inverse je m'attendais à mieux....

Aha c'est bien d'avoir des duels avec des styles opposés pour satisfaire tout le monde

Merci, moi je n'aime pas elle a même pas fouler mon garage et oui c'était sympa les vignes, mais le plus chiant c'est la saleté pour le design j'ai fait 10 aller-retour entre le LS Custom et le lieu des photos mais la saleté revenaient toujours

Voici l'essai récit du mois de mai     ESSAI PEGASSI ZENTORNO par fande2cv Mars 2014, j'essayais la nouvelle Supercar de Grotti. Deux mois plus tard c'est au tour de son plus proche concurrent, Pegassi, dont je vais essayer leur dernier bolide. En effet, Pegassi n'a pas mis beaucoup de temps pour riposter contre la Turismo R et nous présente la Zentorno, nouvelle voiture extrême qui laisse enfin prendre la retraite à l'Infernus après 12 ans de bon et loyaux services et vient rejoindre la Vacca dans les concessionnaires. La firme de Sant'Agata Bolognese, qui a été racheté par Obey en 1998 a toujours été réputé pour ces véhicules ultra performants mais difficilement maniables par tous. Aujourd'hui avec les multiples nouvelles technologies Pegassi a su rattraper ses concurrents en terme de sécurité. Que vaut cette Zentorno face à ses concurrentes ?   Essai :   Pour répondre à la question, il fallait que je me rende chez Luxury Autos pour me procurer l'un des exemplaires de la supercar. Je me suis donc rendu au showroom très tôt le matin pour pouvoir profiter de toute la journée à vous faire découvrir ce bolide. A mon arrivée, j'avais pas seulement en ma possession une Zentorno, j'avais devant moi une Zentorno bénéficiant du pack performance. Ce pack comprenant des freins et une transmission course, un aileron et bas de caisse en carbone, un capot aérodynamique ainsi qu'un moteur V12 de 6.5L de cylindré poussé à 750ch, faisait de ma version la version la plus féroce de la gamme. Vu la faible luminosité de l'arrière boutique je décidais de commencer l'essai et de découvrir le design plus tard. Premier point qui montre une différence avec la concurrence c'est l'ouverture des portes en élytre qui est très réussie, ceci peut être un avantage dans les parkings. Au démarrage un son aigu se dégageait des deux gros pots d'échappement. C'était parti pour les premiers tours de roues dans le centre ville. Lors de ma balade dans celui-ci je me rendis compte que malgré des suspensions moelleuses, des accélérations diaboliques et un freinage plutôt bon, la Zentorno n'est pas faite pour la ville. En effet, sa faible surface vitrée accompagnée d'une garde au sol très basse rendent la visibilité presque nul. De plus, la Pegassi ne possède qu'un très petit coffre à l'avant ne vous permettant pas de faire des courses pour une semaine. Cependant, le rayon de braquage est plutôt bon pour la catégorie et contrairement à la Grotti elle réussit avec succès l'épreuve du trottoir. Enfin bref, ce n'est pas ce que l'on recherche quand on achète ce genre d'auto. J'arrivais petit à petit à une partie qui m’intéresse fortement, c'est l'autoroute. Great Ocean Highway me voilà. Sur cette autoroute la Zentorno prend tout son sens et exploite son V12 au maximum. Le pied sur l'accélérateur l'aiguille monte dans les tours accompagné du moteur qui expulse un vrombissement et une sonorité envoûtante, mes poils s'hérissent et mes mains crispées sur le volant passent le rapport et je me vois coller au fond de mon siège baquet pendant que la voiture accède à sa vitesse de pointe et ceci à chaque passage de vitesse. La voiture est fabuleuse pour ses accélérations et sa vitesse de pointe, mais elle l'est moins quant il s'agit d'arrêter l'auto lancée à pleine allure. La highway traversait plusieurs patelins qui me permis de m’arrêter sur un des parkings pour faire mon point design. Je commençais par la face avant. Il faut savoir que la Zentorno est caractérisée par sa teinte bicolore qui se retrouve sur plusieurs éléments de la carrosserie. Sur l'avant cette teinte est présente sur le pare choc avant avec un liseré rouge et sur le capot avec deux triangles rouge enfoncés dans la carrosserie. Le reste de la face avant est très axé sur l'aérodynamisme avec une partie basse très sculptée et aérée, un capot bombé et plongeant en pointe vers l'avant, des feux 100% LED qui sont pour moi mal placé et deux prises d'air présentes sur le toit. Passons à la face arrière qui est pour moi un massacre ! Les designers sont allés trop loin dans l'extravagance, les multitudes prises d'air surpiquées de rouge sont trop bling bling à mon goût, ils auraient dû s'en tenir aux seules prises d'air hexagonales du milieu. Après tout n'est pas à jeter à la poubelle, j'aime bien la signature lumineuse, l'aileron, le diffuseur arrière et les sorties d’échappement central. En revanche, la partie entre les feux et le diffuseur fait un peu plastic et pas très esthétique. Imaginez vous faire un créneau avec cette voiture ! Pour le profil on oubliera la saleté, cette voiture se salit très vite quand on commence à l'exploiter (gomme qui brûle, frein qui s'encrasse, bitume chaud....). Le profil se rapproche plus d'un avion de chasse que d'une voiture. En effet, ses lignes angulaires coupées à la serpe font de la Zentorno une œuvre d'art automobile, même si le design peut avoir du mal à être apprécié. C'est donc un profil qui mêle, prises d'air béantes (portière, rétroviseur, custode) et ailes bombées. Enfin on pourra noter la ceinture de caisse remontante vers l'arrière qui donne une impression d'appui au sol, des jantes encerclées de rouge qui vont parfaitement avec le design spécial de la Pegassi ainsi que la différence de taille de celles-ci qui donne un arrière plus mastoc et un avant plus fin à la manière d'un nez d'avion pénétrant dans l'air. Le design fini, je pouvais me concentrer sur la partie de l'essai qui révèle le plus souvent les défauts d'une voiture : les routes sinueuses. Direction Tongva Hills pour tester ses aptitudes en virage. Je peux vous dire que c'est un régale de conduire cette voiture dans les collines ! La voiture est très sécurisante et peut être conduite par n'importe qui. Cette facilité de prise en main s'explique par une mécanique réglée à la perfection. La transmission intégrale est d'une très grande aide, couplée avec une très bonne direction, elle permet d’enchaîner les virages avec rapidité, précision et sans perte de motricité. De plus l'aérodynamisme et le centre de gravité très bas permettent d'accentuer l'effet de collage au sol. On peut aussi rajouter à la liste un très bon châssis et un freinage suffisant qui rendent le tout exceptionnel pour offrir un agrément de conduite sportif et aisé à prendre en main. Mon aventure me fît faire un arrêt pour présenter au conte de Marlow, propriétaire du vignoble éponyme, la Zentorno. Car oui on peut le dire avec plus de 10 millions de chiffre d'affaire l'année passée, le conte est un acheteur potentiel. En contrepartie il nous donna l'autorisation de faire un tour dans ses vignes avec la voiture. Pour ce qui est du comportement sur ce type de chemin, il est très bon grâce au fort couple et à la transmission intégrale qui permet de ne pas s’enliser dans la boue. Mais, la Zentorno à ses limites et dans ces terrains à forte inclinaison la faible hauteur de caisse se révèle comme un handicap qui pourrait au final endommager la carrosserie carbone de l'auto. Fin de l'escapade, je me dirigeais vers le centre ville. Durant ce retour j'ai eu le droit à un très bel orage accompagné d'un rideau de pluie. Pour moi l'utilisation sur route mouillée et le plus gros défaut de cette voiture. En effet étant toujours sur les routes sinueuses, le comportement qui sur route séche est très dynamique est devenu très maladroit et peu virulent. Quand on sollicite le freinage en même temps que la direction, la voiture glisse et se bloque, elle a tendance à sous-virer. Par ailleurs, ce blocage ne peut pas être contrôlé par le drift puisque la transmission laisse passer presque aucun survirage. Mon arrivée dans le centre ville était de plus en plus imminente et donc la fin de l'essai proche. Mais en tant que bon journaliste je me refusais de rendre la voiture dans cet état, c'est donc un passage à la pompe et au CarWash qui s'imposa. Il ne me manquait plus, en cette début de soirée, qu'à ramener la Pegassi à son concessionnaire. Je repartis au volant de ma Peyote, qui me fit rendre compte du comportement démoniaque de la voiture que je venais juste de laisser.   Conclusion :   Avec la Zentorno, Pegassi a franchi un nouveau pas dans sa propre histoire et dans l'histoire de l'automobile. En effet, Pegassi qui était réputé pour avoir des voitures dangereuses à conduire et maintenant en train de passer à l'étape de l'automobile maniable pas tous. Toutefois, cette « adoucissement » ne met pas fin à la sportivité exacerbée de leur auto. En outre, Pegassi signe un tournant dans l'automobile avec le design de sa Zentorno, qui est pour du moins futuriste et extravagant. Ce que je retiens de cette voiture est un comportement exceptionnel mêlant nervosité et confort avec une très belle mécanique qui sait intervenir au bon moment. C'est donc une très bonne auto malgré le fait que je n'aime pas le tournant que prend Pegassi en terme de style extérieur.   + - Moteur Look Châssis Conduite par temps humide Transmission Visibilité Suspension Garde au sol pour le off-road Aérodynamisme Agilité Esthétique : 3,5/5 Maniabilité : 5/5 Comportement route sèche : 5/5 Comportement route mouillé : 3.5/5 Note : 17/20 : Une supersportive qui titille la perfection mais un look qui peut déplaire ! Données constructeur : (Merci à Donki le gris pour m'avoir autoriser à utiliser les données de ses tableaux dont voici le lien https://www.gtanf.com...showtopic=19302 ) Fabricant : Pegassi Modèle : Zentorno Mécanique : V12 6.5L de 750ch Catégorie : SuperSportive Transmission : Intégrale Nbr de places : 2 Prix d'achat : 750 000$ Stats de base / Stats modifiées Bleu => Stats utilisées pour l'essai Vitesse max : 85,31 / 85,31 Accélération : 88,75 / 133,75 Freinage : 33,33 / 38,33 Maniabilité : 71,92 / 84,42 Crash test : Très bon Données Social Club : Temps sur circuit réalisé par le Stig : 0 ' 46 , 540 Temps sur 1000m d/a réalisé par le Stig : 0 ' 24 , 453 Véhicule réel inspiré pour le modèle : Lamborghini Sesto Elemento / Veneno FIN Voilà pour cet essai, j'espère qu'il vous aura plu

Merci L'endroit se situe sous le pont à coté du stripclub, là où il y a des clodos

Cette aprème, j'ai fait ma séance photo pour l'essai et je me suis rendu compte que la Zentorno se salit très vite :ohmy: En tout cas rendez-vous mardi soir pour découvrir l'essai de ce "vaisseau"

Merci

  Petit convoi ! Je savais même pas qu'on pouvait modifier la dépanneuse   Quelques un de mes véhicules          

J'aime bien et toi aussi tu es tombé sous le charme de ce gros engin ? Ouais je l'aime bien mais pas encore au point pour le prendre en multi.   Jolie couleur pour la Surano.   C'est vrai qu'il est pas très performant et merci !

Nouvel essai   ESSAI DINKA AKUMA par Valou Bonjour à toutes et à tous, je vais vous présentez ce mois ci l'essai d'une moto très connu la Dinka Akuma, on m'a dis que cette moto surpasserait une Obey 9f, Inveterro coquette, Dinka Jester..... ! C'est pour cela qu'il m'en fallait une, je voulais en être sur mais tant qu'à faire autant choisir la version « Road ». La puissance du deux cylindres en ligne a été très peu modifié, le plus gros changement ce marque sur le look de celle ci avec les suspensions rolins, les freins brombo et le pot kopovic ! Pour cela il me fallait 25000$ et un ami Vince de Vice City qui peut tout ce procurez même un P-666 Lazer !   Essai :   Ah enfin après cinq jours d'attente je vois le contact de Vince et sa remorque pas loin d'ici, j'agite les bras pour me faire remarquer ! Voici la moto il ne reste plus qu'à la descendre de la remorque. La voilà, même si il fait nuit je vais commencer la partie design. La face avant de la moto est assez simple, douce et les lignes ont l'air d'avoir été dessinées à la plume, les petits phares avant au xénon sont sobres et efficaces car ils éclairent très fortement ! De profil la moto est très belle, l'échappement kopovic dont le silencieux très gros et bas ressort bien sur le coté droit de la moto. Reste à voir si sur la route ce pot ne frotte pas au sol, l'arrière de la moto est très fine par rapport à l'avant. Comme je le disais l'arrière est vraiment très fin par rapport à l'avant et surtout avec ce réservoir, enfin même le pneumatique arrière (280) est beaucoup plus grand que la selle arrière qui d'ailleurs et très peu confortable pour votre passager ! Donc si vous souhaitez emmener votre marmot au GP de Liberty City oublié cette moto. Enfin après avoir fini la partie design je pars chercher un petit motel pour être en forme demain. Nous voici de bon matin lancé pour ce second essai moto, en partant par l'autoroute je me suis donné en charge de voir si la puissance de ce roadster, qui serait la versions streetfighter de la double-t d'après Dinka Motorcycle, pousse autant que ce que disent les rumeurs. Et bien les amis, oui ! Je vous le confirme j'ai pris pour la première fois de ma vie 345 km/h ! Si si c'est bien vrai, qui l'eut cru ? Je sortais de l'autoroute sur Grapeseed où j'admirai sur ces routes abîmées le travail fantastique de l'amortisseur arrière rolins, à toute vitesse aucun choc n'est ressenti malgré la conduite rapide et violente de la moto. J'arrive enfin sur un des pires test pour tout motard : le chemin de terre. Et bien voilà la moto n'adhère plus au sol on glisse à chaque virage, il est impossible de choisir une trajectoire et la suivre, les freins sont aussi efficaces qu'une camera de surveillance éteinte ! En gros contrôler la moto devient plus un combat contre la chute et ce, même à faible vitesse. Je continuais ma route vers le centre ville par la route 68 pour voir si le poids n’empêchait pas son moteur WMC (Western Motorcycle Company) de 1200 cc pour 100cv en deux temps a air culbuter, de rendre réactive la moto ? Et bien encore une fois c'est un grand oui puisque la moto se dirige comme un vélo malgré son poids de camion ! Encore un bon point pour cette moto. Me voilà maintenant encore plus proche de LS sur la magnifique route de Zancudo Grande Valley où encore une fois la moto se comporte bien, elle nous laisse l'emmener où on le désire avec sa puissance et ces suspensions, on a l'impression de conduire un nuage dans les airs ! Enfin arrivais à Los Santos, l'épisode pluvieux vient mettre fin à l'essai, sous la pluie la moto reste souple et se laisse emportée il faudra toute fois faire attention car le freinage sous la pluie et très dégradé !     Conclusion :   La Dinka Akuma est une moto esthétiquement simple, grosse, puissante, réactive et joueuse. De plus elle est la plus rapide des motos de série avec un compteur digital bloqué a 350 km/h ou 216 mp/h c'est une vrai arme pour mettre une tangente à tous vos amies sur n'importe qu'elle route, en bref elle a tout pour plaire sauf son prix en version « Road » et surtout sa conduite sur chemin de terre !   + -   Puissance Confort selle arrière Maniabilité Comportement sur terre Vitesse de pointe Freinage sous la pluie Motricité Prix de la versions « ROAD »   Esthétique : 3,5/5 Maniabilité : 4,5/5 Comportement route sèche : 5/5 Comportement route mouillée : 3,5/5   Note : 16,5 /20 Une moto quasiment parfaite qui plaira à tout publique et même aux jeunes motards ! Seul hic, le prix de la version "ROAD" .   Données constructeur : (Merci à Donki le gris pour m'avoir autoriser à utiliser les données de ses tableaux dont voici le lien https://www.gtanf.com...showtopic=19302 ) Fabricant : Filiale moto de Dinka Modèle : Akuma Mécanique : 1200cc de 100ch ( 2 temps à air culbuté ) Catégorie : Moto Transmission : Propulsion Nbr de places : 2 Prix d'achat : 9000$ Stats de base / Stats modifiées Bleu => Stats utilisées pour l'essai Vitesse max : 77,8 / 77,8 Accélération : 100,0 / 145,0 Freinage : 40,0 / 45,0 Maniabilité : 70,74 / 83,24 Données Social Club : Chronos : A venir... Véhicule réel inspiré pour le modèle : Buell XB12S Voilà pour mon second essai j'espère qu'il vous a plu et peut-être qu'il était meilleur que le premier j'ai essayé de faire différemment, maintenant j'attends vos retours   FIN Le sondage est terminé, merci d'avoir voté, c'est donc la Pegassi Zentorno qui l'emporte pour l'essai récit qui sera posté mardi et non pas mercredi

J'aime bien et toi aussi tu es tombé sous le charme de ce gros engin ?   Nouvelle couleur pour ma Surano et j'ai enlever les pares chocs custom  

Ok, profites en bien

Merci pour vos avis je pense que je vais la faire Beige / rouge   Euh... C'est la Tornado.   Beige et rouge pour ma part.   Je pense qu'il voulez dire qu'il préférait la Tornado en version normal, pas décapotable

Dommage et du coup du loues quoi ?   Ouais, j'suis dégouté... J'me suis rabattu sur une Chrysler 200 Sedan, ça reste pas mal aussi.   C'est pas mal aussi mais je suppose que ce n'est pas la nouvelle ?   Ca sera la première génération mais de toute façon, elle date minimum de 2010 donc ça va.   Tu n'avais pas d'autre choix ?

Merci aux personnes qui ont voté pour moi J'ai hâte de voir le prochain duel !

Dommage et du coup du loues quoi ?   Ouais, j'suis dégouté... J'me suis rabattu sur une Chrysler 200 Sedan, ça reste pas mal aussi.   C'est pas mal aussi mais je suppose que ce n'est pas la nouvelle ?

Aujourd'hui j'ai décidé de changer les couleurs de ma tornado, la voici     Donc je me suis dis qu'il fallait mettre des couleurs vives car sur ce type de voiture presque toutes les couleurs lui vont. Je me suis alors lancé dans la recherche de combinaisons   Les voici, j'aimerai savoir votre avis sur celle que vous préférez le plus               Alors laquelle vous préférez ? Sachant que je les aime toutes mais qu'il n'y a pas assez de véhicule de ce type dans GTA5 pour mettre toutes ces combinaisons

Merci et moi aussi je lui ai laissé cette couleur Dommage et du coup du loues quoi ?

Oui d'ailleurs c'est préciser sur la première page

Bonjour, voici un nouvel essai réalisé par Kalys car je n'avais pas le temps cette semaine   ESSAI BRAVADO BUFFALO SRT8 II par Kalys Je viens aujourd'hui vous présenter l'essai d'une icone américaine, la Bravado Buffallo. Du poids (énormément), des chevaux (beaucoup aussi!) et des dimensions de paquebot, la voiture américaine par excellence ! Buffalo viens de renouveler son modèle et lève le voile pour l'occasion sur la très énergiques version SRT8. Le V8 HEMI est toujours aux rendez vous, porté à 6, 4 L pour l'occasion.   Essai :   Le rendez vous est pris sur une station de Lavage sur Davis. Arrivé sur place, la Buffalo tellement impressionnante et charismatique, attire de suite mon attention. La face avant est incontestablement une réussite. Les feux absorbé par les ailes musclées devant, font gagner en fluidité malgré le côté massif de l'ensemble. Une somptueuse calandre surmontant le pare choc bardé d'aération muscle encore un peu plus l'ensemble. La Buffalo semble prête à avaler le bitume. Sur le côté des magnifiques jantes noir surdimensionnées se marie parfaitement avec cette teinte bleu. D'énorme aération en retrait des ailes avant servent à refroidir le Big Block. De profil l'arrière plongeant donne une impression de coupé. L'arrière, comment dire.... ne laisseras pas indifférent. Ou on aime ou on déteste. Tout en muscle, le pare choc avec extracteur accueil 4 sorties d'échappements, au dessus le coffre aux formes particulières accueil pour sa part un feu stop "Star wars" s'étendant sur toute la malle. Le petit becquet très discret apporte une touche de sobriété . L'intérieur est vieillot , bas de gamme et mal équipé. La on sais qu'on est dans une berline américaine, mais l'intérieur n'étant pas sa priorité passons... Je démarre, le V8 laisse échapper un grondement prometteur au démarrage. Première enclenchée, pied sur l'accélérateur, le big block se met à faire souffrir les roues arrières qui patinent excessivement. Il faudra mieux doser ces accélérations au démarrage ! La seconde s'enclenche , et les roues adhérant enfin, l'accélération devient virulente, en prime un son métallique et rauque caractéristique du big block vous mettra de suite dans l'ambiance. Malheureusement le poids se montre très vite pénalisant. Avec pas loin de deux tonnes, notre Bravado n'est pas une ballerine. La Buffalo n'est vraiment pas agile, il faudra tourner fort et se battre avec la direction, dans les passages étroits en ville et les demi-tours s'avéreront très compliqués à cause d'un très mauvais rayon de braquage.De plus le freinage souffre aussi du poids, et les distances d'arrêt sont mauvaises. Toutes ces petites choses rendent au final la ville assez insupportable. Le V8 mettant le train à mal à chaque accélération et créant pas mal d'à coups au ralenti, m'incitera aussi à vite sortir de Los Santos. Je m’élance sur Palomino Freeway, mais après quelques kilomètres, la jauge d'essence crie au secours, le HEMI est très vorace.. Le plein fait, on va enfin voir de quoi la Buffallo est capable. Je m’élance franchement, et la Buffallo accélère fort et longtemps. Tout les rapports s'enchaîne la poussée ne semble jamais faiblir. Bien sûr, notre Bravado n'a pas la poussée de vrai GT comme les Grotti, Pfister ou autre Dewbauchee mais les sensations sont là. La vitesse maximum est très bonne, la boîte très prompte à rétrograder facilite chaque dépassement et le poids important collant la voiture au sol, la tenue de cap est très bonne aussi. Seul le freinage toujours à la peine demandera de l'anticipation. En sortant a Grapespeed, je me dirige vers le mont Gordo, et dans les grandes courbes longeant l'océan, la voiture mit en avant un mauvais équilibre des masses. Causant survirage et réactions malsaines lorsqu'on se met à attaquer vraiment. A chaque nouveaux virages, on se bat avec la direction, un châssis mal équilibré, un poids monstrueux et des pertes de motricité. Par contre à la sortie du virage, on se retrouve catapulté jusqu'au prochain. Ce qui nous laisses au final que peu de répit. C'est donc avec des crampes au poignet et quelques sueur froide que j'arrive au pied du mont Gordo. Dés le début de l’ascension la Buffallo, se montre impressionnante. Collée au sol, la motricité se révèle correcte et le moteur ne manque pas de ressources pour monter. Je suis bluffé. Les seuls handicaps seront sa ceinture de caisse très basse imposant d'éviter les obstacles et sa largeur ne facilitant pas la tâche dans des endroits étroits. Mais la preuve est fait, vous pourrez rejoindre des campings dans des zones difficiles d'accès avec votre petite famille cet été. C'est donc à allure modérée que je rentre par les collines, ayant bien compris que la Buffallo n'aimait pas être malmenée. Durant tout le trajet, le confort aura été remarquable ! Dernière ligne droite avant le centre ville, encore un de ces écolos en Dilettante qui ralentis tout le monde. Je rétrograde, pieds aux plancher et la file de voiture s'évanouie dans mon rétroviseur, le V8 ne manque jamais de ressources quand il s'agit de dépasser. Arrivé en ville, une averse me fit découvrir que la Buffalo n'est pas une voiture "multi-météorologique". En effet, la motricité ne passe plus, on se fait régulièrement doubler par ses roues arrières aux démarrages et en virage. Le freinage empire encore. Il vaudra mieux adopter une conduite tranquille. Conclusion : La Buffallo ne doit pas être comparée aux vraies GT bien plus efficaces. Son rôle est familiale. Spacieuse, confortable avec 4 portes, une puissante familiale même grâce à son formidable V8. Mais même dans cette catégorie, elle a dû mal à rivaliser. La puissance est la mais son comportement manque de rigueur, de précision et d'efficacité, face à une Exemplar ou une Tailgater pourtant moins puissantes mais bien plus efficaces. Son poids et son freinage sont pénalisant surtout en ville où la voiture souffre. Mais sur des grandes routes, la Buffallo libère l'énergie colossal de son V8 et prends tout son sens. Une superbe voiture qui manque tout de même de polyvalence et d'efficacité pour réellement convaincre. Mais quel look et quel moteur !   + - Look Agilité Moteur Rayon de braquage Accélérations Freinage Confort Poids Prix Perte d'adhérence Puissance Esthétique : 5/5 Maniabilité : 4/5 Comportement route sèche : 3.5/5 Comportement route mouillé : 3/5 Verdict 15,5/20 : Une berline à l'américaine ! Données constructeur : (Merci à Donki le gris pour m'avoir autoriser à utiliser les données de ses tableaux dont voici le lien https://www.gtanf.com...showtopic=19302 ) Fabricant : Bravado Modèle : Buffalo SRT8 II Mécanique : V8 HEMI 6.4L de 470ch Catégorie : Sportive Transmission : Propulsion Nbr de places : 4 Prix de revente : 3500$ Stats de base / Stats modifiées Bleu => Stats utilisées pour l'essai Vitesse max : 77,8 / 77,8 Accélération : 72,5 / 117,5 Freinage : 30,0 / 35,0 Maniabilité : 63,64 / 76,14 Crash test : Bon Données Social Club : Temps réalisé sur circuit par le Stig : 0 ' 50 , 198 Temps réalisé par le Stig sur 1000m d/a : 0 ' 26 , 694 Véhicule réel inspiré pour le modèle : Dodge Charger SRT8 2013 FIN Voilà pour cet essai N'oubliez pas de voter si ce n'est pas déjà fait, les votes se terminent vendredi Edit : Mise à jour des chronos.

Très beau combi !   J'adore !   Pas mal !   Ma dernière acquisition    

Alors merci pour ce deuxièmes votes