Essais voitures In-game !

[Touille Del'est 586]

Euuhh...les gars...?

...y'a pas de biturbo chez Land ce sont des moteurs compressés...

...j'en veut pour preuve...

http://rules.config.landrover.com/jdxl/fr_fr/l494/

 

...d'ailleurs je me suis rendu compte qu'en France y'a qu'un seul moteur essence pour l'Evoque...

[Kalys-CastleBravo 1 379]

Si si maintenant c est des turbo ! Et le evoque existe en 4 moteur . Un essencr 3 diesel il me semble

[Touille Del'est 586]

V8 ''supercharged'' c'est des compresseurs...même le configurateur britanique ne propose pas de turbos...

[fande2cv 762]

Oui effectivement ! Mais j'ai mis que V6 dans l'essai donc c'est bon

[Touille Del'est 586]

ah merde il voulait parler des moulins diesel surement...ce sont bien des TDI...

[LeVieux 1 155]

Pour le sondage j'ai choisi la Bullet par defaut n'ayant pas trouvé la Monroe

[fande2cv 762]

Pour le sondage j'ai choisi la Bullet par defaut n'ayant pas trouvé la Monroe

La Monroe est une Sportive Classique alors que la Bullet est une sportive, c'est donc pour ça quelle n'est pas dans le sondage. L'essai récit du moi de juin sera consacré à une Sportive Classique

 

En attendant voici l'essai d'une sportive classique réalisé par Cavel

 

 

 

ESSAI

DEWBAUCHEE JB700

par Cavel

Le premier mot qui vient quand on parle de cette voiture ? Mythique. Aujourd'hui je m'adonne à un essai d'une voiture d'une autre époque, où automobile rimait avec plaisir. Aux antipodes des voitures actuelles bardées d'électroniques et à la conduite monotone.

 

Essai :

 

Les clés ne me viennent pas d'un concessionnaire mais d'un généreux particulier, qui me donne sa confiance pour que j'évite le crash-test. Petit rappel historique, la JB700 est sortie en 1965 et est utilisé la même année par un célèbre espion britannique, ce qui l'inscrira dans la légende. Le design de la voiture est connu par tous, il suffit de voir cette large calandre et ces gros yeux ronds pour la reconnaître. Les épais pare-chocs en chrome participent pour beaucoup au charme de la voiture.

Sur le côté, on observe une silhouette élégante avec les 3 ouïs latérales typiques de la marque. Les jantes à rayons confirment la classe de cette voiture.

Quand à l'arrière, et bien on se contentera d'une petit vitre, de petits feux ronds et de deux sorties d'échappements qui semblent rajoutées à la va vite.

Je m'installe à bord et tourne la clé (et oui on faisait comme ça à l'époque), un rapide coup d’œil à l'intérieur en bois surmonté d'un énorme volant et de nombreux compteurs. Enfin le 6 cylindres en ligne (!!) démarre après quelques "brou-brou". J'avance au ralenti, le moteur n'apprécie pas vraiment et je sens des trépidations importantes au niveau des suspensions. Arrivé au portail de la belle propriété, je m'engage tranquillement sur la route afin de respecter le temps de chauffe du moteur. A vitesse stabilisé autour de 80, le moteur est agréable et la suspension relativement confortable. Passer à cette vitesse permettra d'observer les nombreux passants qui se retournent devant l'icône. A l'intérieur, le manque d'équipement vous obligera à ouvrir la fenêtre pour la clim.

Je m'engage sur la Freeway en direction des montagnes de Los Santos, et la voiture reste parfaitement fréquentable autant par sa suspension que par le confort des sièges, mais le moteur impose un bruit trop présent qui doit être agaçant sur de longues distances. Mais la n'est pas sa vocation.

Agréable à "middle-speed", elle l'est encore plus en haussant le ton. Je sors enfin de la Freeway pour m'engager sur la petite route sinueuse qui borde les montagnes de Los Santos.

Plaisir absolu, aucune aide a la conduite ne viens entraver votre pilotage. Le 6 cylindres déferle sa rage jusqu’à la zone rouge sans broncher, tandis que le châssis reste collé au sol tout en permettant des dérapages jouissifs. Rétrograder vous gratifiera d'un son rageur du moteur, et de vous sortir de dépassements inconscients. Même en conditions extrêmes, la voiture semble très maniable et la remettre sur la route se fera par un petit coup de frein, qui est d'ailleurs puissant mais assez peu endurant. Mais la pluie s'invite et m'oblige à réduire le rythme. Finalement assez peu, la voiture n'est pas gênée par la chaussé mouillée, le seul résultat étant des dérapages encore plus faciles et mon plaisir de conduire en est d'autant plus grand.

Après cette (trop) courte descente, je prends une ligne droite pour tester la vitesse de pointe. Sans trop de surprise, elle n'est pas exceptionnelle mais le moteur l'atteint sans trop de problème.

 

Conclusion :

Le portail de la propriété se dessine à l'horizon. Le moment le plus triste approche, devoir rendre les clés de cette voiture exceptionnelle, qui n'a que pour maître mot de donner du plaisir au conducteur. Tout le reste est superflu, cette voiture n'est pas très confortable, n'a que 2 places, consomme beaucoup et n'a aucun équipement moderne. C'est pourquoi je l'aime, la modernité à du bon, mais les voitures actuelles rendent plus facile la conduite, les rendant plus fades.

Je dois regagner alors la Ubermacht Oracle (V1 évidement), et redécouvre certes le confort et un équipement ultra complet, mais elle me paraît bien morne au volant.

Je finirais cet essai par l'ancien slogan de ma marque préférée (à vous de trouver quel marque), "pour que l'automobile reste toujours un plaisir".

 

+ -

Conduite exceptionnelle Plus conforme aux standards actuels...

Dépouillement total

Moteur au top

 

 

Esthétique : 5/5

Maniabilité : 4,5/5

Comportement route sèche : 5/5

Comportement route mouillé : 4,5/5

 

Verdict 19/20 : Le plaisir coupable ?

 

Données constructeur : (Merci à Donki le gris pour m'avoir autoriser à utiliser les données de ses tableaux dont voici le lien https://www.gtanf.com...showtopic=19302 )

Fabricant : Dewbauchee

Modèle : JB700

Mécanique : 6 cylindres en ligne de 286ch

Catégorie : Sportive Classique

Transmission : Propulsion

Nbr de places : 2

Prix d'achat : 350 000$

Stats de base / Stats modifiées Bleu => Stats utilisées pour l'essai

Vitesse max : 80,48 / 80,48

Accélération : 65,0 / 110,0

Freinage : 20,0 / 25,0

Maniabilité : 57,66 / 70,16

Crash test : Très bon

Données Social Club :

Temps réalisé par le Stig sur circuit : 0 ' 53 , 370

Temps réalisé par le Stig sur 1000m d/a : 0' 26 , 955

Véhicule réel inspiré pour le modèle : Aston Martin DB5 / DB6

FIN

Edit : Mise à jour de la première page avec toutes les informations / chronos en rapport avec le Stig, allez y jeter un coup d’œil

Modifié 18 mai 2014 par fande2cv

[Touille Del'est 586]

et elle vaut largement ses 350 000 $...domage qu'on peut pas enlever les mittrailleuses des ailles...

[fande2cv 762]

et elle vaut largement ses 350 000 $...domage qu'on peut pas enlever les mittrailleuses des ailles...

Oui vraiment dommage sachant qu'on ne peut pas les utiliser

[DeZtRuCtEuRZ1 1 414]

Super sympa cet essai

[Kalys-CastleBravo 1 379]

Graaaaav . J adore l aston martin. Mais dans le jeu je la trouve bof puis les mitrailette grosse erreur de style...

L essai n en est pas moins passionant

[Dharma76 3 042]

Très bon essai, j'ai adoré.

[Olivia 1 862]

Sympa le dernier essai

[IFoundPigsy 3 156]

Bon essai Cavel.

 

Pour le vote, je suis le seul à avoir choisi la Infernus !

Modifié 18 mai 2014 par Pigsy

[fande2cv 762]

Mise à jour crash test de la Declasse Asea et de la Dewbauchee JB700

[DeZtRuCtEuRZ1 1 414]

Vive la Vapid Bullet ! Sportive préfère. Modif GT40 Gulf elle est juste folle

[Cavel 7]

Merci pour vos retours positifs !

 

Sinon fande2cv le proprio me fesait confiance pour que tu fasse pas le crash test

[fande2cv 762]

Vive la Vapid Bullet ! Sportive préfère. Modif GT40 Gulf elle est juste folle

Oui j'économise pour m'en procurer une

 

Merci pour vos retours positifs !

 

Sinon fande2cv le proprio me fesait confiance pour que tu fasse pas le crash test

Ce n'est pas la même voiture elle est blanche, les crash tests sont fournis pour les constructeurs

[fande2cv 762]

Bonjour, voici un nouvel essai réalisé par Kalys car je n'avais pas le temps cette semaine

 

ESSAI

BRAVADO BUFFALO SRT8 II

par Kalys

Je viens aujourd'hui vous présenter l'essai d'une icone américaine, la Bravado Buffallo. Du poids (énormément), des chevaux (beaucoup aussi!) et des dimensions de paquebot, la voiture américaine par excellence ! Buffalo viens de renouveler son modèle et lève le voile pour l'occasion sur la très énergiques version SRT8. Le V8 HEMI est toujours aux rendez vous, porté à 6, 4 L pour l'occasion.

 

Essai :

 

Le rendez vous est pris sur une station de Lavage sur Davis. Arrivé sur place, la Buffalo tellement impressionnante et charismatique, attire de suite mon attention.

La face avant est incontestablement une réussite. Les feux absorbé par les ailes musclées devant, font gagner en fluidité malgré le côté massif de l'ensemble. Une somptueuse calandre surmontant le pare choc bardé d'aération muscle encore un peu plus l'ensemble. La Buffalo semble prête à avaler le bitume.
Sur le côté des magnifiques jantes noir surdimensionnées se marie parfaitement avec cette teinte bleu. D'énorme aération en retrait des ailes avant servent à refroidir le Big Block. De profil l'arrière plongeant donne une impression de coupé.

L'arrière, comment dire.... ne laisseras pas indifférent. Ou on aime ou on déteste.
Tout en muscle, le pare choc avec extracteur accueil 4 sorties d'échappements, au dessus le coffre aux formes particulières accueil pour sa part un feu stop "Star wars" s'étendant sur toute la malle. Le petit becquet très discret apporte une touche de sobriété .

L'intérieur est vieillot , bas de gamme et mal équipé. La on sais qu'on est dans une berline américaine, mais l'intérieur n'étant pas sa priorité passons...
Je démarre, le V8 laisse échapper un grondement prometteur au démarrage. Première enclenchée, pied sur l'accélérateur, le big block se met à faire souffrir les roues arrières qui patinent excessivement. Il faudra mieux doser ces accélérations au démarrage ! La seconde s'enclenche , et les roues adhérant enfin, l'accélération devient virulente, en prime un son métallique et rauque caractéristique du big block vous mettra de suite dans l'ambiance. Malheureusement le poids se montre très vite pénalisant. Avec pas loin de deux tonnes, notre Bravado n'est pas une ballerine.
La Buffalo n'est vraiment pas agile, il faudra tourner fort et se battre avec la direction, dans les passages étroits en ville et les demi-tours s'avéreront très compliqués à cause d'un très mauvais rayon de braquage.De plus le freinage souffre aussi du poids, et les distances d'arrêt sont mauvaises. Toutes ces petites choses rendent au final la ville assez insupportable. Le V8 mettant le train à mal à chaque accélération et créant pas mal d'à coups au ralenti, m'incitera aussi à vite sortir de Los Santos. Je m’élance sur Palomino Freeway, mais après quelques kilomètres, la jauge d'essence crie au secours, le HEMI est très vorace..

Le plein fait, on va enfin voir de quoi la Buffallo est capable. Je m’élance franchement, et la Buffallo accélère fort et longtemps. Tout les rapports s'enchaîne la poussée ne semble jamais faiblir. Bien sûr, notre Bravado n'a pas la poussée de vrai GT comme les Grotti, Pfister ou autre Dewbauchee mais les sensations sont là. La vitesse maximum est très bonne, la boîte très prompte à rétrograder facilite chaque dépassement et le poids important collant la voiture au sol, la tenue de cap est très bonne aussi. Seul le freinage toujours à la peine demandera de l'anticipation.

En sortant a Grapespeed, je me dirige vers le mont Gordo, et dans les grandes courbes longeant l'océan, la voiture mit en avant un mauvais équilibre des masses. Causant survirage et réactions malsaines lorsqu'on se met à attaquer vraiment. A chaque nouveaux virages, on se bat avec la direction, un châssis mal équilibré, un poids monstrueux et des pertes de motricité.
Par contre à la sortie du virage, on se retrouve catapulté jusqu'au prochain. Ce qui nous laisses au final que peu de répit.
C'est donc avec des crampes au poignet et quelques sueur froide que j'arrive au pied du mont Gordo.

Dés le début de l’ascension la Buffallo, se montre impressionnante. Collée au sol, la motricité se révèle correcte et le moteur ne manque pas de ressources pour monter. Je suis bluffé. Les seuls handicaps seront sa ceinture de caisse très basse imposant d'éviter les obstacles et sa largeur ne facilitant pas la tâche dans des endroits étroits. Mais la preuve est fait, vous pourrez rejoindre des campings dans des zones difficiles d'accès avec votre petite famille cet été.

C'est donc à allure modérée que je rentre par les collines, ayant bien compris que la Buffallo n'aimait pas être malmenée. Durant tout le trajet, le confort aura été remarquable ! Dernière ligne droite avant le centre ville, encore un de ces écolos en Dilettante qui ralentis tout le monde. Je rétrograde, pieds aux plancher et la file de voiture s'évanouie dans mon rétroviseur, le V8 ne manque jamais de ressources quand il s'agit de dépasser.

Arrivé en ville, une averse me fit découvrir que la Buffalo n'est pas une voiture "multi-météorologique". En effet, la motricité ne passe plus, on se fait régulièrement doubler par ses roues arrières aux démarrages et en virage. Le freinage empire encore. Il vaudra mieux adopter une conduite tranquille.


Conclusion :

La Buffallo ne doit pas être comparée aux vraies GT bien plus efficaces.
Son rôle est familiale. Spacieuse, confortable avec 4 portes, une puissante familiale même grâce à son formidable V8. Mais même dans cette catégorie, elle a dû mal à rivaliser. La puissance est la mais son comportement manque de rigueur, de précision et d'efficacité, face à une Exemplar ou une Tailgater pourtant moins puissantes mais bien plus efficaces. Son poids et son freinage sont pénalisant surtout en ville où la voiture souffre. Mais sur des grandes routes, la Buffallo libère l'énergie colossal de son V8 et prends tout son sens.
Une superbe voiture qui manque tout de même de polyvalence et d'efficacité pour réellement convaincre. Mais quel look et quel moteur !

 

+ -

Look Agilité

Moteur Rayon de braquage

Accélérations Freinage

Confort Poids

Prix Perte d'adhérence

Puissance

Esthétique : 5/5
Maniabilité : 4/5
Comportement route sèche : 3.5/5
Comportement route mouillé : 3/5

Verdict 15,5/20 : Une berline à l'américaine !

Données constructeur : (Merci à Donki le gris pour m'avoir autoriser à utiliser les données de ses tableaux dont voici le lien https://www.gtanf.com...showtopic=19302 )

Fabricant : Bravado

Modèle : Buffalo SRT8 II

Mécanique : V8 HEMI 6.4L de 470ch

Catégorie : Sportive

Transmission : Propulsion

Nbr de places : 4

Prix de revente : 3500$

Stats de base / Stats modifiées Bleu => Stats utilisées pour l'essai

Vitesse max : 77,8 / 77,8

Accélération : 72,5 / 117,5

Freinage : 30,0 / 35,0

Maniabilité : 63,64 / 76,14

Crash test : Bon

Données Social Club :

Temps réalisé sur circuit par le Stig : 0 ' 50 , 198

Temps réalisé par le Stig sur 1000m d/a : 0 ' 26 , 694

Véhicule réel inspiré pour le modèle : Dodge Charger SRT8 2013

FIN

Voilà pour cet essai N'oubliez pas de voter si ce n'est pas déjà fait, les votes se terminent vendredi

Edit : Mise à jour des chronos.

Modifié 21 mai 2014 par fande2cv

[Touille Del'est 586]

Bel essai...moi je trouve qu'elle tient assez bien la route pour le poids...

...par contre les chronos ont tous été faits d'origine...