fande2cv

Essais voitures In-game !

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jadore cette image Fande2cv *_* ps: cest quoi la couleur de la DB5 ?

Je la trouve vraiment superbe cette photo elle retrace l'histoire de dewbauchee

Oui c etais le but. Exposer la totalité de ma marque préféré, puis sa ajouter en réalisme pour mon essai.

Dans l ordre

Rapid Gt, massacro jb 700 , massacro , exemplar

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Kalys il te manque la Rapid GT cabrio :p Sinon voici son nouvel essai :)


ESSAI
BOLLOKAN PRAIRIE
par Kalys

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Le marché des compactes est en plein essor dans une ville congestionnée comme Los Santos. Les constructeurs rivalisent d'imaginations et de créativités pour tirer leur épingle du jeu. Compacte à hayon bodybuilder , micro-compacte tel que la Panto, cabriolet fashion ou voiture écolo, dur de choisir ! C'est donc dans cette ambiance que Bollokan a voulu se démarquer avec un coupé aux allures sportives mais de la taille d'une compacte.
Dans sa version la plus extrême la Prairie est motorisée par un 2,7L de 167 chevaux. Pour un coupé sur le papier ça peut paraître bien peu surtout que notre compacte (qui l'est pas tant que ça, sort à plus de 1350 kilos sur la balance !!!)
Voyons ce que ça donne en réalité.

Essai :

Ce matin, c'est donc chez Mosley auto, situé sur Strawberry que je me rends. Il dispose d'un modèle d'essai dans sa plus grosse version. Arrivé devant le garage, mon ami Mosley me l'avais déjà sorti, celle-ci était prête à partir.
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La face avant me perturbe, quelque chose ne colle pas. Je pense que l'association d'un pare choc très moderne avec un design particulier ne colle pas du tout avec ces feux et cette calandre vieillot, typique des productions post années 2000. L'avant apparaît déséquilibré et pas vraiment réussi donc. On dirai que les stylistes se sont cherchés pour le coup. Sur le côté on notera juste une discrète aération et des jantes d'origines très quelconques.
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Derrière c'est nettement plus flatteur. Le pare choc très simple est souligné par un diffuseur au dessin très réussi. Les sorties d'échappements très bien intégrés et le petit spoiler très discret finiront de mettre en valeur cet arrière. Seul les feux ne me plaisent pas vraiment .
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Déjà avec une compacte on sais que l'espace va être compté, mais avec une compacte coupée. .. Stricte deux places, avec un coffre ridicule, la Prairie est un doigts d'honneur aux familiales. Cela dit, l'intérieur assez spartiate et réduit est quand même bien présenté. En m'élançant dans les premières rues je suis horrifier par le manque de motricité de cette Prairie. Quoi qu'on fasse, en première la puissance ne passe pas. Jusqu'au passage de la seconde, le train avant complètement débordé est à la peine. En ville il faudra donc privilégier, évoluer, sur le second ou troisième rapports. Là, la Prairie fait preuve d'un peu dénergie mais le V6 s'avère très linéaire et avare en sensations. Il faudra aller chercher la puissance loin (très loin même) dans les tours, et donc tirer toutes ses vitesses jusqu'à la zone rouge. On aurait aimé un peu plus de couple ou de la puissance un peu plus tôt. Quand à la sonorité, on a l'impression d'avoir un 4 cylindres des années 90 sous le capot. L'essentiel est là, mais le moteur ne transmet aucune émotion. Après quelques kilomètres à me jouer des bouchons en serpentant, je suis très agréablement surpris. Ferme mais précise, c'est un régal. La Prairie se joue des ruelles et des parkings avec son petit gabarit et son excellent rayon de braquage.
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En continuant en direction du Mont Tataviam, je commence à fatiguer les freins après à peine quelques minutes d'essai, ceci se montre déjà très moyen. Le châssis à l'image de la direction, se révèle ferme et efficace.
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Sur le Mont Tataviam une fois le barrage passé, j'accélère le rythme, le châssis très ferme brusque les passagers mais reste relativement efficace. Aidé par le fait que se soit une traction, on parvient à éviter les tête à queue même si ça patine. Le freinage est forcément encore un peu plus mauvais.
Quand au V6, lui il est vraiment à la peine sur ses chemins de terre en côte...

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Sur le Mont Haan, je pousse notre Bollokan dans ces derniers retranchements.
A part une tendance à élargir les virages propre aux tractions (dont on n'apprend vite à faire avec) et un décrochage brutal du train arrière dans les derniers retranchements, pas grand chose à reprocher à ce châssis. Il semblerait pouvoir en encaisser beaucoup plus. Mais le V6, toujours aussi linéaire et sans caractères demande à être cravaché, tiré sur les rapports, rétrogradé, la boite de vitesse ne va pas faire la journée à ce train la. Après il assure l'essentiel, on peux quand même s'amuser un peu et doubler assez facilement quand on a compris que le V6 n'avait qu'un semblant de vigueur passé 4500 tours.
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Dans l'immense descente de grand Senora, je parvint à atteindre 190 kilomètres heure, et le châssis était toujours très stable, sans aucun mouvement de caisse.
Je décide de rentrer en ville, le confort très spartiate et l'habitacle minuscule n'inviteront pas aux voyages...
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Sur l'autoroute, comme pour le reste de l'essai vitesse max et dépassements se feront en s'acharnant sur la boîte et en poussant chaque rapport. Malgré ça la vitesse de pointe est très correct pour un véhicule de ce type.
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Une petite averse, ne mit rien d'autres en évidence sur la Prairie, elle patine toujours autant, freine toujours aussi mal, mais le châssis encaisse bien et permet d'éviter les glissades. Après une journée entière à tirer comme un mulet sur le levier de vitesse j'ai fini par l'arracher. Heureusement pour aller acheter de la glu, la prairie se gare partout.
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Conclusion :

La Prairie est de très bonne compagnie en ville. Petite avec une direction et un châssis très ferme, l'efficacité prime aux détriments du confort. Seul la motricité et le freinage font vraiment tâche. Quand au V6 même si il est vraiment pas démonstratif il assure l'essentiel. Mais sur ce marché, face à une Panto bien plus pratique, à une Blista bien plus rageuse, qui distille bien plus de sensations, ou à une Issi bien plus fashion , la Prairie aura du mal à séduire . Ça conception date et à part son côté coupé japonais, dur de provoquer un coup de coeur. Dommage car elle n'est pas dénué d'intérêt!

+ -
Gabarit Look
Utilisation urbaine Moteur
Rayon de braquage Puissance
Châssis Boite de vitesse
Tenue de route Suspension trop ferme
Freinage
Traction mal géré


Esthétique : 3/5
Maniabilité : 4/5
Comportement route sèche : 3,5/5
Comportement route mouillé : 3/5

Note : 13.5/20 : Un compacte banale mais qui peut avoir des intérêts pour certaines personnes !


Données constructeur : (Merci à Donki le gris pour m'avoir autoriser à utiliser les données de ses tableaux dont voici le lien https://www.gtanf.com...showtopic=19302 )

Fabricant : Bollakan
Modèle : Prairie
Mécanique : V6 2.7L de 167ch
Catégorie : Compacte
Transmission : Traction
Nbr de places : 2
Prix de revente : 2500$

Stats de base / Stats modifiées Bleu => Stats utilisées pour l'essai

Vitesse max : 72,43 / 72,43
Accélération : 55,0 / 100,0
Freinage : 20,0 / 25,0
Maniabilité : 51,63 / 64,13

Crash test : A venir...

Données Social Club :
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Temps sur circuit réalisé par le Stig : 0 ' 57 , 067
Temps au 1000m d/a réalisé par le Stig : 0 ' 30 , 524

Véhicule réel inspiré pour ce modèle : Hyundai Coupé 2ème générations
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FIN

Modifié par fande2cv

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Pas DU TOUT d'accord avec ce test. J'ai une Prairie, et elle est sympa à conduire cette caisse. Même si L'Issi, la Blista et la Panto fait mieux, je pense que c'est exagéré de dire qu'elle représente que peu d’intérêt.

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Oui en gros tu a juste lu la phrase de résumé a la fin :lol:

 

Je cite la dernière phrase de mon essai "dommage car elle n'est pas dénué d'intérêt"

 

Donc oui je suis d'accord avec toi.

 

La note et la remarque ne sont pas de moi... voila pourquoi cette contradiction :)

 

Après pour ce qui est des gout et des couleurs !

Mais moi aussi je l aime bien

 

Merci deztructeur ;)

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Oui en gros tu a juste lu la phrase de résumé a la fin :lol:

 

Je cite la dernière phrase de mon essai "dommage car elle n'est pas dénué d'intérêt"

 

Donc oui je suis d'accord avec toi.

 

La note et la remarque ne sont pas de moi... voila pourquoi cette contradiction :)

 

Après pour ce qui est des gout et des couleurs !

Mais moi aussi je l aime bien

 

Merci deztructeur ;)

Non, je l'ai lu en entier.

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Ben justement tu a bien du y voir que je disais quel ne manquai pas d'intérêt alors . Donc je comprends pas trop :/

 

Après peut être que tu trouve que j'ai été trop sévère , dans ce cas c est compréhensible, mais forcément on ne peux pas dire que du positif non plus et certain aimeront des voitures que d'autre n'aimeront pas . C est toujours très subjectif.

De mon point de vue la prairie est plaisante mais loin de la rigueur ou de la sportivité d une blista, loin du côté pratique et boule de nerf de la panto, et la issi est une voiture coup de coeur et se vend d ailleurs superbien a L A.

D ou ma conclusion.

 

Mais je prends bien note de ta remarque :)

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Bonjour, voici l'essai récit du mois de juin :)

 

 

ESSAI

GROTTI STINGER GT

par fande2cv

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Grotti, a toujours été réputé pour ses victoires dans le sport automobile et pour la création de bolides d'exceptions dotés de technologies provenant de la course et nous offrir, ainsi, des voitures extrêmement performantes. Les supercars ont donc été au sommet de la hiérarchie chez Grotti, ici, nous avons la chance d'essayer la « grande sœur » des Turismo R et autre Cheetah, la Stinger GT. Cette auto, à sa sortie en 1962, était considéré comme l'emblème de la suprématie Grotti en course automobile, c'était la voiture la plus performante de son époque. Construite à seulement 36 exemplaires, elle est l'une des Grotti les plus convoitée et la plus chère sur le marché de l'occasion. Nous allons voir, ce qu'elle a dans le ventre et découvrir les technologies « modernes » des années 60.

 

Essai :

 

Pour avoir une de ces raretés, il ne m'a pas fallu beaucoup de temps. En effet, quand une marque dans son histoire a eu un modèle aussi marquant que cette Stinger, il est quasiment sur de trouver au moins un modèle dans le musée officiel de la marque. Bingo ! Mon coup de fil à Maranello s'est révélé positif, Grotti va m'envoyer leur exemplaire à Los Santos. Une semaine plus tard, c'est le jour J, l'auto arrive au port de Los Santos, je suis convoqué aux alentours de huit heure. 8H10, le port est en pleine activité, les équipes de nuit se font remplacer par celles du jour et moi je me retrouve devant l'Italienne stationnée aux emplacements des véhicules importés / exportés.

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Place au design avec ce soleil radieux. La face avant arbore des courbes arrondies et sensuelles qui se retrouve sur le capot plongeant en arc de cercle, sur les ailes intégrées au capot et les feux en forme de goutte d'eau prolongeant les ailes qui sont très jolies. On notera l'absence de pare choc car l'avant forme une seule et unique pièce proposant une fine calandre encastrée sous le capot et un joli séparateur d'air. Les petits rétros chromés et les deux prises d'air symétriques sur le capot font aussi opérer le charme quand on regarde cette voiture.

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L'arrière quant à lui est très simple mais efficace en terme de « beauté ». Effectivement, l'arrière est très basique malgré un côté aérodynamique et fluide avec les ailes et l'aileron en bec de canard. Les points névralgiques d'une face arrière se retrouvent donc encastrés dans la partie arrière où on retrouve deux petits feux ronds, de part et d'autre de la pièce, une plaque d’immatriculation, et des indications sur le modèle et la marque. Pour finir avec l'arrière, le bas de celui-ci comporte deux belles sorties d'échappement central et le haut nous offre le cœur de la bête exposé sous une vitre, tout simplement magnifique !

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Le profil nous permet de mieux voir les courbes fluides avec des ailes arrières ultra-galbées possédants des entrées d'air incorporées pour refroidir le V12 et l'aileron fondu dans la masse qui est bien plus visible. Pour le reste rien de bien spéciale, je vous laisse contempler cette sublime ligne intemporelle.

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Le design terminé il était temps de mettre la clé dans le contact. Au démarrage le moteur laissa un très joli son aigu et crépitant, direction El Burro pour tester la Grotti sur les routes sinueuses. Cette route est réputée pour avoir des virages dangereux du fait de leur faible angle et certain se trouvent sur des parties de la route très inclinées. Avant d'attaquer la longue série de virage je m'arrêtais au premier virage pour faire une pose photo.

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Photo prise, je m'installe dans le siège baquet et j'enclenche la première. J'abordais, alors, le premier lacet à faible allure mais dès la sortie de celui-ci, j'ai écrasé l'accélérateur et la voiture montait en régime assez rapidement même si je trouve les accélérations pas trop poussives. J'étais en quatrième quand la deuxième série se montra à moi, les premiers virages légers se laissèrent parcourir aisément mais avant la sortie où se trouver un de ces fameux virages dangereux, et la voiture n'a pas réussi à tenir le cap et elle a élargie le virage pour me retrouver sur l'autre voie, heureusement qu'il n'y avait personne ! C'est donc un défaut de direction, le rayon de braquage est trop grand à vitesse élevée. Pour le reste la voiture a une bonne tenue de route du à des suspensions souples et l'excellent châssis soudé à la main. En revanche, les problèmes de sous-virage peuvent dans certains cas où le revêtement est trop mauvais se transformer en survirage à cause du système de propulsion et de suspension pas assez ferme pour éviter les mouvements de caisse. Je dénote quelques points comme le système de freinage à disque qui n'a pas assez de mordant et un moteur qui s'essouffle en montée et déverse un bruit de saturation. En continuant cette route, j'arrivais aux abords de la Palomino Freeway où je pourrai essayer ses aptitudes routières. Je m'engage sur la bretelle d'autoroute et je décide de squatter la voie de gauche pour monter la Stinger GT à sa vitesse maximale.

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Celle-ci se révélait assez bonne même si de simples sportives actuelles arrivent à faire beaucoup mieux mais bon il faut relativiser sachant que cette voiture était la meilleure de son époque. Il est 12h30, je croise une pancarte indiquant une aire de repos et je décide de m'y arrêter. Étant à pleine vitesse, je commençais à rétrograder pour ne pas louper la sortie, au fur et à mesure que je baissais en rapport le moteur dégageait une sonorité très envoûtante faite de crépitements et de retours de flammes dans les pots d'échappements. Me voilà sur l'aire pour effectuer un ravitaillement du V12 et de ma panse.

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Mon menu bien avalé, je repars sur l'autoroute dans le but de me trouver une route pour tester ses capacités en tout-terrain. Le Monts Tataviam me voici !! C'est donc sur les routes de cette montagne que la Grotti s’exerça au off-road. On retrouve presque à l'identique les caractéristiques sur routes sinueuses, freinage pas très convaincant, suspensions moelleuses qui permettent d'absorber les défauts du revêtement, puissance convenable et bien maîtrisée mais les élargissements, quoique présents, se modifient en survirage causé par un sol instable et glissant.

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La fin de la route de terre approchait et au premier contact avec le bitume un drôle de bruit, comme une sorte de clapotement, provenant de l'essieu avant se fît entendre. J'avais le pneu avant gauche à plat, il fallait donc trouver au plus vite un garage pour éviter d'endommager l'essieu ou la carrosserie. Heureusement je me trouvais à 1km d'un réparateur. Pendant que l'on me remplaçait les pneus avant, j'en profitais pour faire un petit saut dans le lac de Miror Park qui se trouvais en face du garage.

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L'heure et demi du changement des pneus me permis d'allier baignade et bronzette pour éviter de mouiller l'habitacle. La facture de 200$ payée je repartais en direction du centre ville sous un manteau nuageux. En zone urbaine, la Stinger est à son aise : suspension moelleuse pour un confort accru, puissance largement, voir trop suffisante, le système de freinage efficace pour ce genre d'allure et un rayon de braquage qui convient parfaitement à nos grands espaces. Seule la rétro-vision et la carrosserie mal protégées peuvent être handicapantes.

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J'étais en direction de la concession Grotti quand un violent orage éclata. L'auto se montra plus rassurante que ce que je pensais : très peu de perte d'adhérence, peu de perte de contrôle du véhicule, seul le phénomène de sous-virage était amplifié ainsi qu'un freinage rallongé limite dangereux.

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Je déposais donc la voiture à la concession qui avait passé un contrat avec la firme de Maranello pour l'exposer un mois au showroom pour ensuite la réexpédier en Europe.

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Conclusion :

 

Pour conclure, la Stinger GT est une supercars qui a eu son heure de gloire. Aujourd'hui, un propriétaire de cette voiture ne cherche pas directement les performances mais l'exclusivité de rouler dans une voiture possédant une aura de compétition passée et glorieuse avec un design aérodynamique et une mécanique très affûtée ainsi qu'une virtuosité délivrée par un V12 central arrière laissant entendre sa mélodie à chaque coin de rue. C'est donc une excellente voiture de collection qui pour tout amateur d'automobile ancienne rêve de posséder. Maintenant pour ceux qui veulent une voiture plus radicale vous pourrez toujours passer au préparateur du coin pour faire grimper ses performances et gommer pas mal de problèmes de puissance.

 

 

+ -

Look Freinage

Sonorité Survirage / sous-virage

Accélérations Reprise en montée

Confort Carrosserie mal protégée

Moteur Visibilité

Exclusivité Prix

Châssis

Vitesse maximale

Tenue de route

 

Esthétique : 5/5
Maniabilité : 4/5
Comportement route sèche : 4/5
Comportement route mouillé : 3.5/5

Note : 16,5/20 : Une ancienne mythique au style taillé pour la compétition !

Données constructeur : (Merci à Donki le gris pour m'avoir autoriser à utiliser les données de ses tableaux dont voici le lien https://www.gtanf.com...showtopic=19302 )

Fabricant : Grotti

Modèle : Stinger GT

Mécanique : V8 de 220ch

Catégorie : Sportive classique

Transmission : Propulsion

Nbr de places : 2

Prix d'achat : 875 000$

Stats de base / Stats modifiées Bleu => Stats utilisées pour l'essai

Vitesse max : 77,8 / 77,8

Accélération : 65,0 / 110,0

Freinage : 20,0 / 25,0

Maniabilité : 56,99 / 69,49

Crash test : Très bon

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Données Social Club :

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Temps sur circuit réalisé par le Stig : 0 ' 53 , 382

Temps au 1000m d/a réalisé par le Stig : 0 ' 27 , 559

Véhicule réel inspiré pour le modèle : Ferrari 250GTO et Shelby Daytona

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FIN

Voilà pour cet essai, j'espère qu'il vous aura plu ;)

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au top comme d'hab'! on fait le tour des expressions à force :p. sinon je viens de voir que maintenant le test de la prairie et je trouve l'avis du style un poil subjectif mais c'était très bien sinon!!

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au top comme d'hab'! on fait le tour des expressions à force :p. sinon je viens de voir que maintenant le test de la prairie et je trouve l'avis du style un poil subjectif mais c'était très bien sinon!!

Merci :) Pour les expressions, j'avoue on commence à en faire le tour c'est pour ça qu'il est temps de partir en vacance :p D'ailleurs, il reste 2, 3 essais à poster pour la semaine prochaine ;)

Modifié par fande2cv

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.... :rolleyes: t'es gentil deudeuche...mais malheuresement les défauts ne sont pas trop gommés avec la prépa....

 

mais ses imperfections lui donnent une âme, un caractère irrésistible.... :blush::wub:

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Je l'ai en Full custom, sauf le turbo et je trouve qu'il y a une net différence, je la trouve plus poussive ;) De plus je l'ai encore plus ressenti quand j'ai enlevé les modif pour le test mais bon se sont mes impressions :)

Modifié par fande2cv

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nan t'as raison je pense comme toi je parlai du chassis moi...

 

 

...c'est quand même bizare ce moteur arrière en porte à faux là...ils font des trucs louches avec les voitures R*...

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nan t'as raison je pense comme toi je parlai du chassis moi...

 

 

...c'est quand même bizare ce moteur arrière en porte à faux là...ils font des trucs louches avec les voitures R*...

Oui c'est sur pour le châssis ça change rien...

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Deux tres beaux essais, pour la prairie , une auto que j'ai eu longtemps dans mon garage, je trouve que l'essai est tres reussi.

Pour le monument qu'est la Grotti Stinger GT, "the auto", vous auriez pu lui trouver tout les defauts du monde qu'elle restera pour moi un de mes modeles preferés. C'est bien simple, ce sont ses defauts qui font son charme :lol:

 

Merci pour cet agreable moment passé à lire vos articles .

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Ces tests à la Auto Plus sont excellents. Rien à rajouter, le design est magnifique et la conduite semble bonne aussi. Dévier sur la voie de gauche ça le fait avec toutes les bagnoles dès que tu vas un peu vite.

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Deux tres beaux essais, pour la prairie , une auto que j'ai eu longtemps dans mon garage, je trouve que l'essai est tres reussi.

Pour le monument qu'est la Grotti Stinger GT, "the auto", vous auriez pu lui trouver tout les defauts du monde qu'elle restera pour moi un de mes modeles preferés. C'est bien simple, ce sont ses defauts qui font son charme :lol:

 

Merci pour cet agreable moment passé à lire vos articles .

Merci ! Et c'est vrai cette Stinger est vraiment sympa, surtout pour son bruit et son design :)

 

Ces tests à la Auto Plus sont excellents. Rien à rajouter, le design est magnifique et la conduite semble bonne aussi. Dévier sur la voie de gauche ça le fait avec toutes les bagnoles dès que tu vas un peu vite.

Merci ! Pour le sous virage, effectivement la plus part des voitures l'on mais sur celle-ci c'est plus marqué et à une vitesse moindre ;)

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